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 B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge

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MessageSujet: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 0:52


   

Bastila Bátorya

L'éternité n'est qu'un mensonge.


Introduction aux ténèbres

âge: Je suis vieille, une mémé dans un corps de mannequin... Je suis une poupée âgée de six siècles et quelques années. J'ai vécu la fin de l'Empire Mongol, mon peuple. lieu de naissance et origines: Je suis d'origine Mongolienne, née dans une Chine divisée et abattue par la pauvreté. statut civil: Célibataire, je ne me suis jamais mariée, je n'ai jamais eu d'enfant et je suis devenue peu après une non-morte... profession: Au fil des siècles, j'ai eu le loisir d'être beaucoup de chose dans la société humaine... J'ai servi des justes, comme des tyrans et des barbares. J'ai été médecin à assassin... Durant ma vie humaine, on m'a éduqué à l'art du combat, mais aussi l'art contemporaine, moderne... On m'a enseigné afin que je devienne cultivé, dans le temps une personne cultivée, été une personne civilisée. Enfin soit, aujourd'hui, mon seul métier et d'être Gameuse professionnelle, je touche de l'argent en jouant à des jeux vidéos. créateur: Ma créatrice est ma mère adoptive bien aimée, Miss Sÿnn Athenaÿs Di Bátorya. J'ai passé de nombreux siècles à ses côtés, jusqu'à partir de mon côté, et vivre de mes propres expériences. J'ai rarement recroisé sa route jusqu'à aujourd'hui. Autant, le dire, j'ai à la fois hâte de la revoir, tout en ayant cette crainte de ne plus lui plaire. dons particuliers: J'imagine que mes dons sont semblable à ceux de mes congénères. Toutefois, je maîtrise différent style d'art-martiaux. J'ai acquis des réflexes au combat durant ma vie humaine, des réflexes qui se sont amplifiés avec ma transformation. méthode de chasse: Autrefois, je m'y prenais sauvagement, mais grâce à Sÿnn, j'ai pu acquérir une certaine délicatesse. Toutefois, je laissais rarement mes proie en vie. Lorsque je voyageai seul, j'ai traversé des phases néanmoins, où l'idée qu'on voyait en moi un monstre était plutôt plaisant. Je tuais, simplement pour semer la terreur. Mon régime alimentaire était comparable à celui d'une bête et l'état dans lequel je laissais mes victimes fut bien moins propre que ceux des loups-garou. Aujourd'hui, je ne chasse plus, je me contente de piquer des sac de sang dans les hôpitaux.  appartenance: Je suis attachée à la Camarilla. avis sur le tru:blood: La science est quelque chose de formidable, surtout parce que c'est l'une des choses qui s'oppose avec succès face à la magie. Je vois dans le tru:blood un moyen d'éviter les sacs de sang que je vole à l'hosto pour ma part.  quelle est votre réputation à edimbourg: Ma réputation, pas sûr qu'on me connaisse, j'ai plutôt évité les projecteurs toutes ma vie. Si une réputation je dois avoir, je suis certainement le "fantôme". Blague à part, je ne sais pas, peut-être qu'on me connaît pour mon métier de Gameuse, je suis youtubeuse après tout. traits de caractère: Bon, je suis plutôt sympa, je pense. J'aime un peu près tout, surtout les nouvelles expériences. J'aime découvre, apprendre, j'adore la science. Si un jour on envoie des gens dans l'espace, je serai à bord du vaisseau. Je suis joueuse, mais très peu bavarde. Je crois que je suis quelqu'un de très solitaire, je ne sais pas pourquoi, une mauvaise habitude. Je m'énerve facilement, en plus d'être rancunière. Je me vois mal avoir quelqu'un à gérer, je suis lunatique et trop mauvaise. Quoi d'autre, je n'aime pas perdre, si tu me défies, t'es mort... Voilà crédits: krisbianessa sur Tumblr groupe: show me your teeth.



Le monstre prend vie

✝️ 001. Je suis une grande rêveuse, j'imagine toujours un univers dans lequel je suis le personnage central. On pourrait voir cela comme un toc, je n'arrive à rien, si je n'ai pas encore imagine un scénario et sa suite. Par exemple quand je fais face à une situation dans la réalité, il faut que dans ma tête je transforme cette situation en scénario fantastique, merveilleuse ou cauchemardesque... Il est facile pour quelqu'un de voir que je traverse ce moment imaginaire, car dans la réalité, je suis simplement perdu dans mon esprit, le regard ailleurs, vide... ✝️ 002. Je suis malade, je l'étais durant ma vie humaine... J'ai vu ma famille biologique se faire tuer par des vagabonds, lorsque j'étais une enfant. Il faut croire que ça m'a toujours marqué l'esprit, même après ma vampirisation. En faite, ma vampirisation n'a probablement fait qu'accroître ce traumatisme qui scinda mon esprit en deux personnalités distinctes. J'ai toujours eu conscience des deux personnalités, vous voyez... Comment dire, c'est comme si j'ai toujours voulu que cette autre personnalité soit de manière la plus égoïste du monde. Je ne suis pas médecin, mais je pense que cette autre personnalité n'est pas réelle en soit, mais je lui donne de l'importance, je lui donne une existence, ce qui la rend réelle à mon avis.  ✝️ 003. La solitude est une des choses que j'apprécie le plus désormais, j'ignore comment j'en suis arrivée à aimer cet état. J'étais une fille particulièrement nocturne, fêtarde et presque coquine. Aujourd'hui, la présence des autres me gênes, surtout celle des hommes qui m'horripile parfois, je suis un vrai détecteur à connard et connasse.   ✝️ 004. Je suis amoureuse, amoureuse de celle ou celui qui volera mon coeur en premier. Bien que j'aime la solitude, cela n'empêche guère ces moments de dépression où j'envie toute forme de relation.  ✝️ 005. Mon monde tourne pratiquement autour du Game, c'est ma vie désormais. Être une rageuse, car faut le dire, c'est rageant les jeux vidéos. Mais c'est aussi ce qui libère mon esprit malade et dépressif. J'aime cette vie virtuelle, j'aime passer des heures sur le PC, la console au point d'en oublier de me nourrir. ✝️ 006. Lorsque je suis sur la douche, j'ai cette sale habitude de laisser l'eau couler sur ma tête, puis genre m'endormir... Je ne m'endorme pas vraiment, mais je ferme mes yeux et je me replonge de nouveau dans monde imaginaire, telle une enfant. A cause de ça, je peux passer des heures dans la douche sans m'en rendre compte. ✝️ 007. Bien que je sois devenue "bizarre", je n'en oublie pas qui je suis pour autant. Je continue à entraîner mon corps au mouvement et au geste, j'étais et je le suis encore, une guerrière Mongol. Tous les matins à la même heure, j'exerce différent style d'art du combat que j'ai acquis avec l'âge et le temps. ✝️ 008. Je ne peux m'empêcher de jouer les mentalistes et de vouloir résoudre une énigme. J'ai un jour travailler comme détective durant la fin du XX siècles, dans le simple but d'augmenter ma capacité d'observation et de réflexion. Si je n'étais pas si jeune d'apparence et que le soleil n'était pas un soucis, j'aurais certainement intégrer le FBI... Carrément, comme vous dite. Mais ce n'est qu'un rêve ça aussi et puis, je ne vis plus aux Etats-Unis. ✝️ 009. Je ne touche pas à la nourriture humaine, même pour faire semblant. Je ne vois pas l'intérêt, ce n'est pas comestible. Si les humains aiment les nouvelles expériences alimentaires, je les respecte pour ça. Mais de mon côté, j'évite de me faire trop d'illusion, je ne suis pas humaine, restons-en là.  ✝️ 010. J'aime parler toute seule, en fait si vous m'avez suivi jusqu'à là, vous aurez probablement deviné que je ne parle pas vraiment toute seule, mais je m'adresse à cette autre personnalité que mon esprit s'est inventé.



Derrière l'écran
pseudo/prénom: Time Lady. âge: 20 ans. pays: France. fréquence de passage: J'essaye d'être la tous les jours, mais je favorise avant tous les études évidemment :silent: personnage inventé ou scénarii: C'est un personnage inventé. commentaires/avis: J'espère ne pas avoir fait un personnage un peu trop commun et j'espère m'intégrer à votre communauté. Voilà B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 1079258459 avatar: Emily Fields.

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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 0:53


 
L'histoire marque notre existence dans le temps.

Histoire




D'aussi loin que je m'en souvienne, je me suis toujours battue... Que ce soit pour devenir une combattante ou survivre à la famine. Je n'ai jamais souffert de ma vie, puisqu'à l'époque je ne connaissais pas grand-chose à par la faim constante. Tout naturellement, il m'a semblé normal de voler mon pain quotidien pour me nourrir. Surtout que ma famille m'avait eu-même appris à me débrouiller seul, de la manière la plus infâme qui soit. Mais d'ailleurs, même à l'époque je ne trouvais pas vraiment l'attitude de ma famille si infâme que ça. Je me rappelle que quand je voyais mon oncle m'arracher la nourriture des mains et le manger devant moi, avec son regard plein de sévérité... Je me rappelle ces moments où j'avais envie de pleurer, mais pas de chagrin, mais plutôt de rage. La seule que je voulais, ce n'était pas qu'il me rende ce pain par pitié, c'était que j'outre passe ma faiblesse et que je lui reprenne moi-même le pain de ses mains. Et je me rappelle de ce jour où j'ai eu enfin le courage d'essayer de lui reprendre un de mes pains. Je crois que ce fut la première fois, que je reçus un coup au visage et qu'on m'initia en passant, à la violence du combat. Mes parents étaient présent, mais lorsqu'on fait partie d'une grande famille qui forme un clan, généralement ce n'est pas nécessairement notre figure autoritaire. Du moins, ce fut le cas de mon côté. Ma mère était celle qui m'avait mis au monde et nourris jusqu'à ce que je le fasse moi-même, mon père fut l'homme qui s'occupait des chevaux et que je devais respecter... Ni plus, ni moins.  Le combat fut l'histoire de toute une vie pour mon peuple, un peuple de conquérant. Ma famille se voulait traditionnelle, même s'il n'y avait plus aucune raison de se battre, on devait rester fort et transmettre à la génération suivante ce qui avait fait la gloire de l'Empire Mongol. Une fois que je fus initier, on m'enseigna le tire à l'arc comme le maniement du sabre.

Nomades nous fûmes, nomades nous restâmes. C'est du moins, ce que je me suis mise à penser pour expliquer ce pourquoi nous voyagions tout le temps sans s'établir définitivement dans une région. Je ne connaissais pas le but de notre voyage, mais je me souviens que ma famille n'aimait guère les étrangers, sinon que pour le commerce. Cela voulait notamment dire, que nous étions un clan avec des ressources, c'est d'ailleurs ces ressources que je volais et pour lesquelles je devais me battre contre mon oncle. Mais nos ressources étaient aussi enviés par d'autre clan, ceux qui n'avaient aucun honneur, des vagabonds, parasite du désert que l'on devait très souvent traverser. Si autrefois on n'avait rien à craindre, cela ne nous protégeât pas pour autant des attaques surprises, des assauts en pleines nuits. Les premiers à subir la mort étaient ceux qui étaient de garde de nuit, ils n'avaient rien vu venir. C'est les premiers cris des femmes et les incendies criminels qui alertèrent le reste du clan. Les plus braves guerrières s'élancèrent au combat, les plus chanceux moururent rapidement, les plus lâches fuirent, les femmes moins chanceuses furent prises avec les ressources. Les vagabonds étaient nombreux et méthodiques, leurs assauts tactiques étaient pensés et repensés. Ils connaissaient notre trajet, nos habitudes au moindre détail. Les guerriers les plus forts avaient été tués dans leur sommeil, comme des bêtes au rang de gibier. Naturellement, il y avait un traître au sein de notre clan, de notre propre famille. Un traître qui avait vendu sa chair et sang pour quelque pièce d'or, mon propre père que je ne connaissais pas assez. Je me souviens de son regard fuyard, lorsqu'il me laissa entre les mains de ses brigands. Un lâche, parmi les lâches. Mais je ne ressentais aucune colère ou rancune envers lui, je ne le connaissais pas, c'était l'homme qui s'occupait des chevaux et que je devais respecter... Ni plus, ni moins.




Voilà là, une bien étrange famille, ayant de bien sombre secret se présentant à moi. Je regarde cette femme avec admiration, c'est la première fois que j'observe des yeux portant la couleur du ciel. Malgré le sang qui recouvre ses lèvres avec une beauté mystérieuse qui lui est propre, malgré ce qu'elle et ces deux hommes, qui l'accompagnèrent, firent aux vagabonds... Je ne pouvais m'empêcher d'aimer et d'envier la beauté de cette femme. Je ne pouvais m'empêcher de la craindre comme de l'adorer, ne comprenant moi-même pas ce qui me traversait. Est-ce pour cela que je n'ai pas hésité à prendre sa main du fond de cette cage qui avait été faite pour moi, lorsque celle-ci me la tendis ? Est-ce pour cela que je n'ai pas hésité à la suivre sans regarder en arrière ? Je savais que je n'y verrais rien, car il ne restait rien de mon passé et j'avais tout un avenir que se tracer à ses côtés, elle que j'appellerai plus tard « Mère ». Ma famille n'était plus ce clan de Mongol fière et brave, mais seulement un petit groupe constitué de trois individus respectable et distingués. Ils m'enseignèrent l'histoire, les mathématiques, leurs philosophies, la musique et bien d'autres formes d'art. Si aujourd'hui, je suis capable de jouer du piano, je remercie cette délicate attention, ces heures et cette patience dont Mère a fait preuve à mes côtés avec tant détermination. Si je peux parler comme une personne civilisée et distinguée, c'est bien à Mère que je le dois. Je ne me suis jamais demandée ce pourquoi on vivait la nuit, je le vivais avec eux et cela me suffisait. C'était en plus dans la nuit que mère m'éduquait, le jour était aussi mon seul moment de repos, le seul moment où je pouvais dormir à mon tour. Je découvris ce que c'était d'assister à des banquets, ce fut la première fois que j'assistai à ce genre de soirée. Mère était une personne importante, tout comme le reste de sa famille, celui qu'elle nomma son créateur et son frère infant.      

Aussi importante que leur nature sombre, qu'ils ne me cachèrent guère. Partager leur secret avec moi, c'était faire de moi un membre à part entière de leur famille. Et je me souviens de la première fois que mère me parla de m'offrir un jour l'éternité lorsque le moment se présentera à moi. Je me rappelle qu'elle en parla comme s'il s'agit d'un cadeau des dieux, mais surtout d'un cadeau d'une mère à sa fille. Plus le temps passa, plus mère s'attachait à moi tout comme je m'attachais à elle, la voyant comme j'aurai dû voir ma mère biologique. Plus je grandissais, plus je devins complice des actes de ma petite famille, parfois attirant moi-même des proies dans un piège qui se refermerait sur eux. Je n'avais pas perdu mon humanité pour autant, au contraire, j'agissais par amour pour ma famille, je voulais leur montrer que je pouvais leur être utile, même si je n'étais encore rien de ce qu'ils étaient, de ce que j'allais bientôt devenir. Je repense à ses séances de combat que mère à passer avec moi, m'enseignant cet art qu'elle nomme l'escrime, cet art propre à la royauté, à la noblesse. Je me rappelle de mes moments de solitude, où je reprenais aussi les bases de l'art du combat qui était propre à mon peuple. Ces moments de solitude où je poussais mon corps à ses limites. Ma famille était puissante, rapide et forte, je voulais l'être à ma manière. Je grandissais et je devenais cette pomme mûre qui attirait l'attention de la gente masculine. Je devais savoir me défendre seul, comme me l'a toujours appris mère, comme me l'avait toujours enseigné à la dure le clan Mongol auquel j'appartenais autrefois. Je grandissais et c'est lors de mon vingt-et-unième hiver, que mère m'offrit l'éternité... Quand j'y pense aujourd'hui, elle m'avait associé indirectement à un personnage qui n'existait pas encore à l'époque, Dorian Gray. Elle me voulait éternellement belle et à ses yeux, j'avais atteint cette beauté qu'il fallait figer dans le temps.




Un jour, je suis partie ! Non pas parce que j'en avais assez d'être auprès de ma famille qui pour chacun était longtemps partie de son côté, mais justement parce que je voulais moi aussi partir de mon côté, voyager et vivre de mes propres expériences, vivre ma propre éternité. Cela faisait des siècles que j'étais restée auprès de mère, j'imagine que nous délier de l'une de l'autre était compliquée pour toutes les deux. Moi qui ai toujours été sous sa protection et influencée par son aura maternelle, elle qui de son côté n'arrivait probablement pas à laisser s'envoler son premier Infant. Toutefois, un jour je suis partie et elle m'a laissé partir. J'ai mis à l'œuvre l'enseignement de mère concernant toute chose ; la communication, le jeu de séduction, la chasse. En fait, je m'en sortais aussi bien que quand j'étais avec elle, du moins, jusqu'à ma rencontre au XIXe siècles avec un certain Magnus, un mortel et philosophe. Il m'a fait découvrir le monde à travers ses yeux si optimiste. Il voyait le bien en toute chose, d'ailleurs à ses yeux le mal n'existait pas, que ce n'était qu'un concept humain pour justifier les conséquences des actes de chacun. Il avait une demeure en Écosse, je venais souvent le voir pour l'écouter parler. Parce qu'en effet, au final, il avait réussi à m'attendrir à sa vision des choses. J'admets, j'aimais surtout le contredire, mais en cela, c'était pour apprécier les réponses qu'il allait m'offrir à l'époque. Il était devenu un ami important à mes yeux, c'était sans aucun doute à cause de lui que je pouvais difficilement considérer la race humaine comme un simple substitut de nutriments. Il me rappelait surtout ma propre humanité, longtemps égarée. Cependant, jour après jour, je voyais comme ses yeux m'observaient et ce qu'il attendait de moi... Malheureusement, je ne pouvais le lui offrir. L'amour dont je faisais preuve, il était noir et mauvais, pouvant corrompre la plus pure et la plus belle des âmes.  

C'était l'excuse que je lui avais donné quand il me fit sa déclaration, pensant qu'il allait très vite s'en remettre. Mais son corps fut signalé par l'autorité le lendemain matin, son corps retrouver pendu au-dessus de l'escalier principal de l'entrée de sa demeure. Aujourd'hui encore, je peux ressentir la douleur que j'ai éprouvée lorsque j'ai appris son suicide. L'idée que j'en étais certainement responsable m'a longtemps hanté avec un sentiment de regret. Je n'ai jamais été amoureuse, je n'avais aucune idée si je l'étais avec lui, j'avais peur de me lancer et après sa mort, je me suis dit que j'aurai dû me lancer, que j'aurai dû faire quelque chose. Cela a été aussi le seul moment où j'ai regretté de ne plus avoir Mère à mes côtés pour me conseiller. Parce que oui, perdu comme je l'étais, je devais de nouveau être guidée par une main ferme et autoritaire. Malheureusement, aucune main n'était là pour m'encadrer dans mon chagrin. Automne 1856, en Écosse... Mère m'a appris à devenir plus forte physiquement lorsque j'étais humaine, mais jamais comment calmer une douleur provoquée par l'amour. Cet automne 1856 fut un désastre, bien que j'ai assumé ma monstruosité il fut un temps. Magnus m'a fait prendre conscience à nouveau de la nature humaine et de la valeur d'une vie. Donc j'estime que cet automne fut un désastre que je ne pourrais facilement me pardonner. Je voulais oublier cet homme qui me faisait tant de mal même dans le royaume des morts, je voulais redevenir un monstre aux émotions éteintes. C'est pourquoi cet automne 1856, j'ai tué d'innombrables innocents, prenant soin de laisser leur corps dans des états méconnaissables... je faisais mieux que les Lycans pour vous dire. Ce n'était pas un massacre, mais un génocide, des villages entiers retrouvés noyés dans le sang et les flammes. Aucun témoin, aucun survivant... Seulement des ruines pour raconter les faits.        

Cet automne fut nommé « l'automne rouge », son tueur aussi insaisissable et mystérieux que deviendra plus tard Jack l'éventreur, fut nommée le « fantôme ». Suite à cette événement honteux, je m'en suis voulu personnellement. Je crois que c'est à partir de ce moment, que j'ai trouvé le monde fade et ennuyeux. Dès que j'ai pu, j'ai remplacé la chasse par les sacs de sang et dès l'arrivée de l'univers numérique, je suis devenue Gameuse. J'ai accusé et j'accuse encore aujourd'hui ma deuxième personnalité, la pulsion qui m'a poussé à commettre des meurtres de masses. Parce que je suis une lâche et que je cherche surtout un moyen d'excuser mon acte passé. C'est aussi avec l'arrivée des jeux vidéos, de la science-fiction, que j'ai commencé à vivre dans un monde imaginaire en parallèle de ma propre vie.

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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 1:10

Le bébé de Synn. *o* Bienvenue à la maison ma belle, très joli début de fiche. Il nous faudra forcément un lien. B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 3147646729
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 1:31

Bienvenue parmi nous B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 1402047909
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 2:12

yaaaay te voilà enfin o/
bienvenue !
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 13:56

Welcome sur le forum B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 1974782251
Merci d'avoir rejoint OGF, bon courage pour ta fiche B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 345634858
En cas de questions hésite pas :vampp:
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 16:55

Ma fiiiille :ommg: :ommg:

Je te le redis, supra ravie de savoir que tu as trouvé en moi ce que tu cherchais B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 3995979106
Ma boîte MP te reste ouverte, et je dévorerai avec plaisir et délectation ta fiche B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 926464853 B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 926464853
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 21:11

Merciiiii à tous, vous êtes tous trop à croqué ! B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 864882755

Saül : Evidemment qu'il nous faut un lien, je me sentirais moin vieille à tes côtés B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 2384157006

Eames : Montgomery ce nom, j'ai pas pu m'empêcher de penser à Elizabeth Montgomery, l'actrice qui joue ma sorcière bien aimée ! AH ! Tout est liée ! Suspect Sinon, chouette la moustache B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 157061624 Je vais allez chanter "Cuir moustache" sous la douche ! B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 1322525301

Gaby : Yep me voilà !!! Prépare ta manette, j'arrive ! B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 723930611

Oskar : Tom Hiddleston/Loki, "K"rop biiiiien bounce

Sÿnn : Mother !!!! I'm coming B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 588861062
Je t'ai beaucoup cité dans ma fiche, à partir du second chapitre. N'hésite pas à me faire savoir si je dois changer un truc ou deux !
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 21:21

Pour moi, tout ce qui mentionne Sÿnn me convient tout à fait :roi:
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MessageSujet: Re: B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge   B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge EmptyDim 25 Oct - 23:37

Une mémé dans un corps de femme, un personnage originaire de Mongolie avec la musique qui va avec, une plume agréable et le bébé de Sÿnn. B.B ¤ Le fantôme de l'automne rouge 1424121975 Azy est-ce que je peux t'épouser petite Bastila ? C'est abusé je suis complètement fan de ta fiche, un vrai plaisir à lire. Je te valide sur-le-champs ma belle, amuse-toi bien parmi nous et n'hésite pas à me mpotter pour que je t'ajoute à un groupe, si tu souhaites participer à l'event.

te voilà validée !

Sois la bienvenue à Edimbourg !

Toutes mes félicitations mon petit chou. Avant que tu ne disparaisses dans la nuit noire, sache que ta personne est conviée à intégrer le rp commun de ton groupe. *o*

il est aussi de bon ton de te créer un carnet de relations, et de consulter le bottin immobilier ou celui de l'anpe. Tu peux aussi lancer des défis, participer aux rps communs, et même faire le fou ou la folle dans le flood !

N'oublie pas que tu peux rejoindre une association, une meute ou un coven, et supporter ton groupe.

N'hésite pas non plus à commenter la deuxième version du forum. *o* Enfin, tu peux envoyer à tout moment un message à ta dévouée dream team ! Ils aiment bien, ça leur passe le temps.
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