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Mai Fraser-Bowman
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MessageSujet: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyJeu 26 Nov - 0:04


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Et celui-là tu en penses quoi? Je pense que Jazz avait toujours pas compris que je ne pouvais la voir pointer quelque chose du doigt puisqu'elle était morte. Du coup, quand elle me disait celui-là sans plus de précision, je ne savais pas vraiment de quoi elle parlait. Le livre à ta gauche, celui qui tombe en ruine. D'accord. En même temps, ils tombent tous en ruine... Ce sont des antiquités, normalement qu'ils tombent en ruine Marcus. Je vais pas venir à une vente spéciale chez un antiquaire pour me trouver un livre neuf avec une jolie couverture en papier glacé. Non ce que je veux c'est plutôt ça : un vieux livre, sentant cette odeur particulière du papier vieilli, avec l'encre qui commence à s'effacer par endroit, une calligraphie douteuse, une couverture au cuir cassant... Juste comme celui que Jazz vient de me montrer. Doucement, je rapprochais mon visage du livre, profitant de la vague d'odeur qui parvient à mes narines. Cet antiquaire était un bonheur. J'étais déjà venue plusieurs fois dans ce magasin, récoltant quelques objets aux propriétés magiques intéressantes ou mystérieuses. Ou les deux parfois... Ou les deux parfois, c'était vrai. J'aimais l'ambiance tamisée de la boutique. J'aimais le vendeur qui n'hésitait pas à partager son savoir avec moi, nous lançant à l'occasion dans de longues conversassions interminables. Surtout avec les commentaires des esprits derrières. Marcus adorait le vieux... ou plutôt Marcus adorait le contredire à tout bout de champ, son activité favorite et encore plus avec ce monsieur. Sauf qu'il y a quelques jours en passant devant la boutique par le plus grand des hasard j'avais vu qu'il vendait tout ce que ses vitrines contenaient dans le but de fermer son commerce et de prendre sa retraite tranquillement. Il avait mériter cette retraite mais je ne pouvais m'empêcher d'être un peu déçue de le voir quitter son poste. Qui est-ce que je viendrais voir quand j'aurais des doutes sur l’authenticité d'une statuette ? Ou quand je voudrais débattre de l'utilité, hypothétique bien sur, de certaines pierres dans une amulette ? Pfff... Mais bon, avant qu'il ferme j'avais donc décidé de venir fouiller sa boutique à la recherche des dernières merveilles que je pourrais y prendre. J'avais déjà récupérer quelques statuettes en bois, comme il aimait tant en vendre, ainsi qu'un lot de pierre précieuses anciennes. Bref, tous genres de choses que je pourrais vendre à la boutique ou utiliser pour mon propre compte. Après tout : a woman need to take care of herself... Une variante à mon goût du « a woman need to eat »... Ouais, ou si non c'est surtout que t'es de putain de mauvaise humeur quand tu as pas pu bidouiller ta magie. Venant de toi Marcus, je prends ça comme un compliment vu que tu es toujours de mauvaise humeur. Il a raison, t'es lourde quand tu te sens pas magiquement entourée et protégée. Temp... C'était pas ma faute si les emmerdes arrivaient à me trouver plus vite que je ne les cherchais. Et l'on sait tous que pourtant j'ai un don pour chercher des emmerdes. Donc, je préférais établir un minima de protection au tour de moi-même. Bref j'étais penchée sur le livre, observant sa couverture, l'épaisseur de ses pages, la reliure apparente... Tout en essayant de faire taire Temperance qui m'expliquait ma stupidité. Oui, ça ressemblait bien à un authentique tout ça. Elle est douée pour détourner le sujet n'est-ce pas? Marcus, fermes là. Je me redressais et entreprenait de fouiller dans mon sac à main. J'en sortis une paire de lunette grossissante que je plaçais sur mon nez. Ca aidait pour étudier ce genre de chose en magasin. Et surtout pour te donner un air stupide et totalement naze. Merci Jazz... Ca m'aidait pour mes activités, j'en avais rien à faire qu'elle ne trouvait pas ça à son goût. Roh puis, laissez moi vivre ma vie. Sans nous tu serais sûrement déjà morte. Le pire c'était que Temperance avait pas tort ce qui m'arracha une grimace. Puis je partais à la recherche de cette micro spatule en métal qui allait me permettre de l'étudier un peu plus sans prendre le risque de l'abîmer. Mon outil en main, je me retournais vers le livre et tendait la main vers lui... quand ma main en percuta une autre. Je relevais les yeux et trouvait une jeune femme aux cheveux fortement en bataille qui me regardait surprise. Je me pinçais les lèvres. Je voulais étudier ce bouquin. Excusez moi, j'allais le prendre. Espérons que cela suffirait à écarter la concurrence.


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Mirela A. Šestić
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyJeu 26 Nov - 21:51



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Mai & Mirela

Déambuler dans les rues de la ville. Probablement l’un des passe-temps favori de  Mirela. Marcher au hasard des rues, sans but, sans intention précise, juste pour le simple plaisir de découvrir une ville qui n’avait toujours pas fini de révéler ses secrets. Après années passées à Edimbourg, elle était régulièrement surprise. Après tout, même sa ville natale de Goražde, ou Sarajevo où elle avait tout de même vécu plus de sept ans, l’étonnaient toujours lorsqu’elle avait l’occasion d’y retourner. Alors vous pensez bien qu’une ville comme celle-ci allait la fasciner encore longtemps. Bien entendu, il lui arrivait très régulièrement de se perdre, mais ce n’est pas le genre de chose qui l’inquiète. Elle sait pertinemment qu’elle finit toujours par s’y retrouver, même si cela prends parfois un peu de temps. Après tout, que serais la vie s’il n’y avait aucun imprévu ?

Et c’est donc ce qu’elle faisait ce jour-ci, profitant d’un jour de congé et d’une météo conciliante pour explorer la ville, dans l’espoir peut-être, qui sait, de dénicher un trésor. Elle se laissait donc mener là où ses pas la guidaient, regardant d’un air distrait les vitrines qui s’alignaient le long du trottoir, tout en gardant un œil sur les éventuels poteaux, histoire d’éviter de répéter sa cascade de la semaine passée qui lui avait valu une belle bosse. Encore. Pour une fois qu’elle se concentrait un minimum sur son chemin, elle failli manquer la petite boutique qui se tenait juste là. Un hasard quelconque lui fit lever les yeux et elle aperçu alors ce qui était la vitrine d’un antiquaire. Chouette alors ! Un affiche indiquait la liquidation des ‘stocks’ pour cause de départ en retraite. Dommage. Il fallait que la boutique la plus intéressante du coin soit sur le point de fermer. Bon. Eh bien, autant en profiter tant que c’est ouvert non ?

Manquant de peu de se prendre les pieds dans le tapis, elle pénétra dans le petit magasin, à l’odeur si … historique. Cette odeur de bois et de vieux papier qui plaisait tant à Lela. Des quantités incroyables d’objets anciens s’alignaient le long de murs et sur les étagères. Un vrai bonheur. Elle déambula lentement dans la pièce, parcourant tout les articles du regard, feuilletant les ouvrages, touchant à tout. S’approchant d’une table présentant plusieurs ouvrages, elle en remarqua un qui se démarquait des autres par son état de délabrement. Forcément, cela attisa la curiosité de la jeune femme. Le bouquin avait l’air très ancien, et pour elle, plus un livre est vieux, plus il est intéressant. Normal, pour une historienne.

S’en approchant, elle tendit la main vers l’ouvrage, sans remarquer la jeune femme juste à côté qui faisait de même. Ce n’est que lorsque leurs mains se rencontrèrent qu’elle nota la présence de l’autre. Qui de tout évidence ne semblait pas ravie. Et les lunettes qu’elle avait sur le nez n’arrangeaient pas cette impression. Excusez moi, j'allais le prendre. Sans blague. Moi aussi, semble-t-il, répondit-elle. La jeune femme la regardait d’un air pincé, mais il en fallait plus que ça pour déstabiliser Mirela. Elle avait de toute façon l’habitude qu’on la regarde d’un air désapprobateur, alors une fois de plus ou de moins … Vous permettez au moins que j’y jette un œil ? Pour une raison ou pour une autre, ce livre l’intriguait fortement. Je m’en voudrais de passer à côté d’un ouvrage qui pourrait s’avérer crucial pour mes recherches. Bah oui, après tout, qui sait. Ce genre d’endroit était tout à fait propice à ce genre de trouvailles. Certes, les chances étaient minces, mais bon. Qui ne tente rien n’a rien, comme on dit. Et puis, c’était une bonne excuse pour pouvoir feuilleter le bouquin et décider s’il valait la peine de se battre pour l’obtenir. Pour faire bonne mesure, elle sourit à la jeune femme.
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Mai Fraser-Bowman
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyVen 27 Nov - 18:30


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Dis, tu as vraiment cru qu'elle allait pas te prendre pour une folle avec tes lunettes space sur le nez et ton air coincé parce qu'elle veut la même... merdouille que toi? Ca s'appelle une antiquité et non une merdouille Marcus ! Un peu respect pour ce bouquin qui est peut-être même plus vieux que toi s'il te plait ! Genre depuis quand tu respectes tes aînés toi... Mes aînés non mais les antiquités oui je les respecte. Je les respecte, je les chéris, je les bichonne mieux ! Frustrée de pas avoir d'enfants, elle se rabat sur les antiquités... Nan mais oh... Tant mieux pour Holmes, elle aurait pu se rabattre sur lui sinon! Roh je vous merde vous ! Je suis occupée là si vous n'aviez pas remarqué ! J'essaye de me démerder pour que ce livre ne me passe pas entre les mains. Je croyais que vous aimiez quand j'ai l'esprit de compétition ? Ah ça vous en bouche un coin ! Dans votre tronche les esprits... Donc réagissons plutôt devant cette jeune femme qui effectivement devait me prendre pour un folle et ne ps apprécier mon air pincé. Surtout qu'elle me répondit que elle aussi elle le voulait se bouquin... Bordel pourquoi je n'étais pas tombée sur un trouillard qui rien qu'en me voyant aurait détaller ? Je détestais voir une antiquité me passer sous le nez. C'est pour ça qu'on t'interdit les ventes aux enchères. T'es trop chiante après ça... Pas faux. La simple idée que le livre puisse me passer sous le nez suffisait à déjà m'énerver. Alors que je savais même pas s'il était intéressant pour mes recherches sur la magie, à toute époque et sous toutes les formes. Mais voilà, c'était plus fort que moi bordel. Au pire, tu iras lui voler après... Padraig et ses bonnes... Ses idées à la con oui ! Elle a arrêté ce genre de vie, la relance pas ! Tain, y avait que parce qu'il était contre ça que j'aimais bien l'autre con... Nan, tu le détestais même s'il était contre cet aspect de ma vie. Je te rappelle que tu l'as qualifié de plus grosse erreur que j'ai jamais commise devant les fois où j'ai failli y passer. Mais oui, voler c'était mal. Il faudrait que je me case ça dans la tête. Elle me demanda si elle pouvait au moins le regarder et je me mordis à nouveau la lèvre. C'était la meilleure manière de se le faire tirer sous le nez ça nan ? Oui, c'est ça. Mais la traite sortit la phrase qui pouvait me faire totalement changer d'avis. Ses recherches... Qu'est-ce que je pouvais comprendre ! L'agacement de ne pouvoir avoir accès à CE document qui changerait tout, qui te ferait faire un bon en avant. Où qu'est-ce que je connaissais ça ! Je soupirais fortement. Et lui tendis ma spatule spécial livre ancien. Allez-y. La recherche avant tout. Alors qu'elle ne me fixait plus j'en profitais pour la détailler de haut en bas. Style atypique, il n'y avait pas à dire. Mais en dehors du fait que ce ne soit pas commun, ce mélange de couleur et de matière rendait pas si mal que cela. Je regardais les cheveux sans réussir à savoir si la coiffure était travaillée et recherchée ou pas. Cette nana était le cliché de l'historienne mais je voulais en être sure. Historienne n'est-ce pas ? Si tu avais fait des études, tu pourrais toi aussi être historienne tu sais. La ferme sur les études Temp. Ma vie me convient comme elle est. Je ne regrette pas ce qui m'a mené ici. Je n'aurais pas la boutique. Je n'aurais pas Holmes. Je n'aurais pas connu Aidan si j'avais fait des études. Alors voilà merdouille ! Ajustant mes lunettes sur mon nez, je glissais une main jusqu'à un autre livre, en bien meilleur état, et regardait son contenu d'un œil distrait, en espérant tout de même que l'autre ne lui serait pas utile pour ses recherches.
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyDim 29 Nov - 21:25



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Mai & Mirela

Quelle étrange personne que voilà. La jeune femme prenait tout son temps avant de répondre à Lela, comme s’il lui fallait réfléchir longuement à cette demande. Bizarre. Certes, la jeune femme avait une drôle d’allure avec ses lunettes, mais Mirela n’était pas du genre à juger les gens sur l’originalité de leur apparence, elle était bien mal placée pour. Mais l’autre fini par acquiescer, tout en lui tendant l’instrument qu’elle tenait dans la main. Bon, au moins, elle était capable de rester courtoise malgré le déplaisir apparent qu’elle avait à laisser quelqu’un d’autre s’approcher du livre. S’emparant à la fois du livre et de l’objet proposé, elle enclencha son mode recherche : complètement concentré sur ce qui l’intéressait, à savoir l’ouvrage. Du coin de l’œil elle avait remarqué que l’autre la détaillait, mais elle avait tellement l’habitude qu’elle ne s’en formalisa pas et n’y prêta pas la moindre attention. Elle n’avait jamais accordé la moindre importance à ce que les autres pensaient d’elle, et ça n’allait pas commencer aujourd’hui.

Elle commença donc à explorer le livre. Aucun titre n’était visible sur la couverture, et la première page semblait avoir été rongée par un animal. Impossible donc de savoir de quoi il s’agissait. Les premiers feuillets n’étaient pas beaucoup plus utiles. L’encre s’effaçait de ci de là, et l’humidité avait laissé des tâches qui rendaient la lecture de l’ouvrage compliquée, d’autant qu’il s’agissait d’un anglais relativement archaïque. Mais au fur et à mesure des pages, la qualité s’améliorait suffisamment pour distinguer quelques mots, quelques phrases. Une fois habituée au style et à l’orthographe d’un autre temps, la lecture se faisait plus claire et s’annonçait même prometteuse.

Plongée qu’elle était dans le bouquin, elle failli ne pas remarquer que son interlocutrice avait repris la parole. Finalement, elle n’était peut-être pas si désagréable qu’elle en avait l’air. Lela leva les yeux de l’antiquité pour regarder la jeune femme, laissant le temps à la question de monter jusqu’à son cerveau. Mmm ? Oui, je suis historienne. J’enseigne à l’université d’Edimbourg. Histoire moderne. Elle allait retourner à l’ouvrage, mais réalisa qu’il serait peut-être plus poli d’essayer de poursuivre la conversation, si déjà l’autre avait fait l’effort de l’engager. Vous vous intéressez à l’histoire ? Laissant la jeune femme répondre, elle baissa à nouveau les yeux vers le livre, tournant distraitement les pages à la recherche d’indices sur le sujet précis de l’œuvre.

Un passage attira alors son attention. Plus près du centre du bouquin, il semblait avoir été plus épargné par les ravages du temps et de la mauvaise conservation, et était plus lisible que les autres. Quelques mots clés lui sautèrent aux yeux. ‘Sorcières’, ‘magie’, ‘sabbat’, entre autres. Reportant toute sa concentration sur les pages qu’elle avait sous les yeux, elle feuilleta la suite du passage, remarquant pour son plus grand plaisir que ces mots semblaient revenir régulièrement. Mmm … intéressant ! Elle avait bien fait d’insister pour voir l’objet, puisqu’il semblait s’avérer qu’il avait pour sujet exactement son thème de recherche actuelle.

Maintenant, le souci était que peut-être l’autre jeune femme aurait elle aussi un intérêt à ouvrage. Après tout, elle semblait suffisamment équipée pour ne pas être complètement novice en termes de livres anciens. Mais Mirela était déterminé à obtenir cet ouvrage, maintenant qu’elle avait une petite idée de son contenu. Elle n’était pas du genre à lâcher l’affaire, le problème étant que la jeune femme en face d’elle non plus. Mais après, pourquoi tirer de plans sur la comète ? Peut-être n’aurait-elle aucun attrait pour l’histoire de la sorcellerie. Après tout, même si ce sujet intéressait beaucoup de monde, peu d’entre eux étaient suffisamment à fond pour se farcir une antiquité pareille.

Elle reporta à nouveau son regard sur son interlocutrice. On dirait que cela traite de sorcellerie. Exactement ce qui m’intéresse …
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Mai Fraser-Bowman
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyLun 7 Déc - 22:58


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Tu as mis trop de temps à lui répondre, ça se voit dans son regard. Jazz avait pas tort. Il y avait ce truc dans le regard de la jeune femme qui me laissait penser qu'elle avait remarqué quelque chose d'étrange. Mais delà à savoir que j'avais les autres cinglés HE! dans ma tête, il y avait un chemin. On est pas cinglé. Et puis quoi encore ? Nan, elle devait juste me prendre pour quelqu'un de spécial, de particulier... D'ailleurs vu son accoutrement, elle devait elle aussi être quelqu'un de particulier en son genre. Elle me répondit que oui elle était historienne et je fis un high-five mentale à mes esprits. On avait un don pour ce genre de choses. Par exemple, j'étais sure et certaine que cette jeune femme n'était pas une sorcière. Du moins, pas une chaman parce que je sentais les chamans ou plutôt je sentais toujours leur esprit. Du coup, elle n'était pas chaman. Et à vrai dire à part quelqu'un de très original et une historienne, je pensais qu'il n'y avait rien de plus particulier à noter sur elle, du moins que j'avais besoin de noter. Elle me demande si je m'intéressais à l'histoire et je lâchais un petit rire. Oui, plus qu'intéressée par une partie de l'histoire... Une partie que je pouvais difficilement dire sans passer pour une cinglée généralement et ce même en me trouvant dans une boutique d'antiquaire. D'ailleurs, elle y était aussi, peut être qu'elle était aussi barrée que moi en fait. Je la regardais feuilleter le bouquin en essayant de lire par dessus son épaule mais rien à faire je n'y voyais rien à cette distance. Bien fait pour toi. Marcus merde tu pourrais faire un effort et être dans mon cas nan ? Pourquoi faut que tu la soutiennes elle plutôt que moi. C'est pas juste du tout ! Bref, tu es vraiment qu'un sale con ? Bref, espèce de traite ! Mais elle dit le mot qui me fit sursauter. Pas possible... Je me penchais pour apercevoir le texte, laissant mes lunettes retomber sur mon nez. J’apercevais des mots plus que familier sur ce texte. Ca traitait bien de la sorcellerie. Je... je fais des recherches sur la sorcellerie, les rites et surtout les familles de sorciers... Je laissais mes yeux caresser amoureusement le papier. Un mot plus qu'un autre attira mon attention. « Chat »... Ca parlait de chat... Je sentis mon cœur ratait un battement. Un chat... sorcellerie et chat, les deux termes qui me permettaient d'en savoir plus sur ma famille mais surtout sur mon pendentif. Ce pendentif que Ewen avait aussi... Je... puis-je? Plus que délicatement, je touchais le livre en le prenant dans mes mains. Je me penchais pour lire. Une grimace se dessina sur mon visage. Nous voilà face à un dilemme : il pourrait être cruciale aussi dans mes recherches... Je lâchais un soupire. C'est pour votre travail n'est-ce pas ? Je m'en voudrais de vous empêcher de travailler. Mais... si je vous le cède, accepteriez-vous de me laisser venir à votre lieu de travail le consulter? Au tant tenter le tout pour le tout. T'es devenue gentille? Une fois que j'aurais son lieu de travail, je n'ai jamais dit que je viendrais seulement sous sa surveillance ou que je l'y laisserais en permanence. Vous me connaissez : tous les moyens sont bons. Puis je sais pas, quelque chose me dit que j'ai pas envie d'énerver cette jeune femme...
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Mirela A. Šestić
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyMer 9 Déc - 14:00



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Mai & Mirela

Oui, plus qu'intéressée par une partie de l'histoire... Bon, tout n’était pas perdu. Certes, il aurait été surprenant que la jeune femme soit à la recherche de livres dans une boutique d’antiquité sans avoir un quelconque intérêt pour l’histoire. Mais bon, parfois, on peut être surpris. Donc, elle n’était pas étrange qu’elle en avait l’air, si elle appréciait l’histoire. Maintenant, elle avait bien dit « une partie de l’histoire », ce qui avait piqué la curiosité de Mirela. Quelle partie pouvait bien l’intéresser de la sorte ? Elle se retint de poser la question, si l’autre voulais lui dire, elle le lui dirait déjà d’elle-même. Au final, elle n’eut pas à attendre bien longtemps. La réaction de la jeune femme lorsqu’elle évoqua la sorcellerie lui appris tout ce qu’elle avait besoin de savoir.

Donc, elle se passionnait pour l’histoire de la sorcellerie. Intéressant. Peut-être avait-elle des informations ou des ouvrages qui pourraient être utiles. Lela reporta toute son attention sur la jeune femme en face d’elle. Son attitude avait changé du tout au tout. Elle n’avait plus du tout l’air agacée ou désapprobatrice, plutôt l’inverse. Elle avait l’air limité … habitée. Bref, toujours est-il que Lela la laissait prendre le bouquin. Elle n’avait pas l’intention de se la mettre à dos maintenant qu’elle pouvait lui servir. Même si cela signifiait peut-être que la concurrence entre les deux pour obtenir l’ouvrage avait pris une nouvelle dimension.

Mais l’autre proposa tout de suite une solution, qui ma foi n’était pas trop mal, même si elle ne semblait pas la ravir tant que ça. Mais pour Mirela, c’était probablement la meilleure chose à faire. Ainsi, elle aurait l’ouvrage à disposition, et pourrait s’en servir autant qu’elle le souhaitait, mais cela lui permettrait éventuellement de retrouver l’autre jeune femme dans un autre contexte et peut-être même de l’interroger un peu sur les recherches que celle-ci effectuait. Maintenant, elle n’était pas tout à fait certaine de faire complètement confiance à la jeune femme, mais bon, c’était quand même mieux que de voir le livre lui passer sous le nez, ou de devoir se battre pour l’obtenir.

C’est bien aimable à vous. Oui, je suppose que ce serait une solution tout à fait acceptable. Je travaille à l’université, mais pour mes recherches je travaille surtout à la National Scottish Library. Je suppose que je pourrais laisser l’ouvrage à la bibliothécaire et lui dire de vous laisser le consulter. Il faudrait me donner votre nom, que je puisse la prévenir. Mirela connaissait suffisamment bien la bibliothécaire pour lui demander ce genre de service, et comme elle n’avait surement pas l’intention de laisser un livre en si mauvais état passer entre les mains de n’importe qui. Deux personnes à travailler dessus, c’était déjà bien suffisant.

Par contre, est-ce qu’il serait envisageable que l’on se revoit un jour, là bas éventuellement, peut-être pourrions nous partager un peu les recherches que nous avons faites. Lela était très curieuse de savoir ce que la jeune femme avait pu dégoter. D’autant que comme l’autre n’était pas historienne, sa méthode de travail différait probablement de la sienne. Et d’expérience, Mirela savait qu’une approche différente, même inattendu, peut parfois apporter un éclairage nouveau sur une problématique historique.
Vous n’êtes pas obligé d’accepter, hein, cela ne change rien au fait que vous aurez accès au livre. Mais peut-être qu’en mettant nos savoirs en commun, nos recherches progresseront plus vite. Elle espérait sincèrement que la jeune femme accepterait. Si leur échange initial avait été plutôt froid, elles avaient toutes les deux montré leur capacité à discuter sans animosité, alors peut-être que cela pourrait marcher de manière intéressante, qui sait ?
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyMer 16 Déc - 13:52


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Assez rapidement une proposition sortie de ma bouche. J'étais dans un bon jour faut croire. Tu parles... Ou alors je me répugnais à priver quelqu'un d'un outil de travail qui se pourrait être si important pour lui. Après tout, du peu que j'avais pu lire de ce manuscrit, qui n'allait pas tarder à tomber en miettes, il serait utile à mes recherches. Or ce qui était utile à mes recherche l'était forcément pour celle d'une historienne spécialisée dans la magie comme j'avais cru le comprendre. Ca va ? Pas trop mauvaise estime de tes recherches. Je décidais d'ignorer cette remarque moqueuse de mes esprits car je savais que c'était vraiment que destiner à m'agacer. Mes recherches étaient ce qu'elles étaient et j'avais, à mon avis, une opinion plutôt objectives à ce propos. Ce n'était pas un gage de qualité mais tout ce qui touchait de près ou de loin à la magie était utiles à es recherches. Mais voilà : mes recherches n'étaient pas mon métier. Encore heureux! Je te permets pas toi... Et c'était SON métier. Et, merde, qui étais-je pour empêcher cette jeune femme de faire son métier correctement ? Personne. Le principe de la question rhétorique c'est qu'elle n'attend pas de réponse... J'imaginais un instant qu'on vienne à moi me foutre le dawah dans mon métier, qu'on m'empêcher de l'exercer correctement et je voyais assez bien ce que pouvait ressentir cette jeune femme à cause de mon intervention peu polie du début. Ca tu peux le dire... Puis bon, je ne perdais pas le nord non plus. Je lui cédais ce livre, pour lequel elle avait l'air prête à se battre, mais en formulant une demande qu'il était alors dur de me refuser. T'es maligne quand ça sert tes intérêts, y a pas à dire. Enfin on est d'accord sur quelque chose tous en même temps ! Et puis : s'il faut se battre, je gagnerais haut la main face à ce petit format. Pour une fois, moi aussi, je suis d'accord. Merci Marcus. Oui Temp, je sais ce que tu vas dire : il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont parfois trompeuses. La preuve : quand on me voit on commence pas par se dire que je vais frapper quelqu'un. Si seulement... On pense surtout que tu as pas spécialement l'air polie. Toujours sympathique. Mais regarde les bras de cette jeune femme : elle doit pas cogner fort. Aller, dites le que vous aussi vous pensez que si on devait se battre je gagnerais. Mais bon, on ne se bat pas dans une boutique d'antiquaire.

Je dus néanmoins retenir une grimace quand elle accepta la proposition, ce qui me faisait plaisir, et me proposa ses conditions. Non le problème était aucunement que je n'ai pas à me rendre sur le campus ou qu'elle me demande de lui donner mon nom. C'était juste que je n'aimais pas trop la National Scottish Library. J'avais toujours l'impression d'y être observé. J'avais ce truc qui faisait se dresser mes poils sur ma peau... Parano va... Venant de la nana qui a fini brûlée vive, je vais le prendre comme un compliment ! Mais bon voyons le bon côté de la chose : là-bas ils prenaient très très grand soin de leur ouvrages et si elle était une habituée, ce qu'elle sous entendait être, elle devait en faire de même. J'étais donc assurée que je trouverais le livre en bon état... du moins pas en moins bon état que tout de suite quand je voudrais le consulter. Et je pourrais venir le faire sans qu'elle me surveille pendant ce temps là. Même si je devrais affronter le regard inquisiteur de la bibliothécaire. Le soucis serait plutôt que je pourrais donc pas passer à des heures non permise pour le regarder sans son autorisation ou pour l'emprunter. Mais bon, on ferait avec hein ! Ca me convient comme ça aussi. Mon nom c'est Mai Fraser. Par contre je devais avouer que j'étais surprise par sa question suivante. Elle voulait que l'on se revoit pour partager nos connaissances. C'était... inattendu comme demande. Déjà j'avais pas l'habitude que mon avis intéresse des non connaisseurs de la magie, enfin des non sorciers quoi. Ensuite, les historiens n'étaient pas spécialement connu pour faire ce genre de proposition mais c'était sûrement qu'un cliché injustifié. Elle dut sentir que je bugais sur sa question car elle m'assura que ça ne changeait rien à notre accord. Tu as peur de finir brûlée aussi? Bah si elle est historienne elle doit en connaître un rayon en magie, ça pourrait m'aider. Mais en même temps, c'était prendre le risque que mon secret soit percé à jour. Je prenais quotidiennement le risque en tenant une boutique comme la mienne mais je pouvais alors dire que ça faisait partie du personnage que là... Je me mordis la lèvre. On peut toujours essayer, ça mange pas de pain ? Oui, tu peux. C'est inattendu mais ce serait avec plaisir. Après tout un avis extérieur sur ce qu'on a déniché est toujours le bienvenu non? Je glissais une main dans ma la poche de mon jean et en ressortais une petite carte que je lui tendais. Tenez c'est la carte de ma boutique. Y a mon nom et mon numéro, pour la bibliothécaire et pour se revoir. Je... je vends pas mal d'objets ou livres anciens ayant un lien avec la « magie ». Je fis les guillemets avec mes doigts pour insister sur le côté imaginaire de la magie. Imaginaire mon cul oui... Padraig, tu n'aides pas là... Je veux juste qu'elle me prenne pas totalement pour une cinglée et couvrir mes arrières ok ? Mais j'avoue que mon intérêt pour la chose dépasse largement ce dont j'ai besoin pour mon travail. Je lâchais un petit sourire coupable. Yep, juste tut ce dont tu as besoin pour ta vie et ton habitude à t'attirer des emmerdes. Franchement, vous aidez pas.
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Mirela A. Šestić
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MessageSujet: Re: I don't exactly like to share (mirela)    I don't exactly like to share (mirela)  EmptyJeu 17 Déc - 22:23



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Mai & Mirela


Alors qu’elle observait les différentes expressions qui passaient sur le visage de la jeune femme, Mirela se dit qu’elle était quand même étrange. Non, pas étrange. Plutôt … fascinante. Comme si elle cachait beaucoup plus de choses qu’elle n’en laissait paraître. Et forcément, la nature curieuse de l’historienne était fortement piquée. Au final, elle était bien contente de la tournure qu’avaient pris les évènements. Elle avait l’étrange intuition qu’une bagarre n’aurait pas tourné à son avantage. Autant, quand il s’agit de s’engueuler, y’a pas de problème, se taper dessus, c’est pas tellement son truc. Et puis elle n’avait particulièrement une carrure de catcheuse non plus. Après, la discussion aurait pu prendre un tout autre chemin sans pour autant aller jusque là, mais au final, c’est la solution la plus favorable à Lela qui avait prévalu, sans qu’elle ait trop besoin de lutter. Tant mieux, après tout, ça économise de l’énergie.
Maintenant, elle avait bien hâte de se mettre au travail et de tenter d’extraire tout les secrets de cet ouvrage. Ses recherches étaient un peu au point mort ces derniers temps, et une nouvelle source ne pouvait être que bénéfique. Et si la jeune femme acceptait sa proposition, cela ferait peut-être des informations en plus pour faire avancer tout ça. Déjà, point positif, elle avait accepté sans sourciller la solution de la National Scottish Library. Mirela enregistra le nom de la jeune femme dans un coin de sa tête, en se promettant tout de même de faire une petite recherche sur la demoiselle, par précaution. Et de ne pas oublier de prévenir la bibliothécaire. Enchanté Mai. Moi c’est Mirela. Mirela Šestić. Vous aurez juste à dire à la bibliothécaire que vous venez de ma part, je l’aurais briffée d’ici là.

La deuxième proposition rencontra un peu plus d'hésitation, mais au final, relativement peu. Qu'elle ait été surprise était normal, au final, elle ne se connaissaient ni d'Eve ni d'Adam jusqu'à il y a quelques minutes, et puis, peu de gens dits « qualifiés » se préoccupaient des l’avis de ceux qui n’avait au final pas de réelle légitimité, du moins en termes officiels. Mais Mirela était à la fois curieuse et aventureuse, et avait souvent eu l’occasion de prouver que le savoir ne vient pas toujours de ceux auxquels on s’attend. Combien de fois avait-elle récolté des informations de sources que la plupart de ses collègues auraient trouvées douteuses, et au final, en orientant ses recherches dans la direction donnée, avait réussi à prouver leur véracité ? Alors pourquoi ce cas présent différerait des autres ? Elle se saisit de la carte que lui tendait la jeune femme, y jeta un coup d’œil, et la mis dans sa poche. En effet, j’ai eu maintes fois l’occasion d’en faire l’expérience. La suite de la phrase lui relever la tête, presque trop brusquement. Une boutique liée à la magie. Très intéressant. En dehors des livres, les objets étaient toujours de grandes sources d’information, et en l’occurrence, la magie était un domaine qui raffolait particulièrement des objets. Une visite était à programmer dans un futur proche. Et puis, du coup, elle avait de toute façon l’excuse de revoir la jeune femme. Quelque chose au fond d’elle lui disait de se méfier, qu’une boutique de la sorte n’était surement pas anodine, mais elle n’y prêtait pas attention. Après tout, on peut très bien s’intéresser à la magie sans que cela soit suspect, et il semblait bien que ce sujet passionnait son interlocutrice. Tout comme cela la fascinait elle-même.

Vraiment ?! Il va vraiment falloir que je vienne y faire un tour alors ! En même temps, elle n’allait pas dire : Non, aucun intérêt, je n’y mettrais jamais les pieds. Mais elle était vraiment curieuse de voir ce qu’elle pourrait bien y trouver. Ce genre de boutique ne courrait pas les rues, et elle n’avait jamais du passer devant celle-ci lors de ses escapades en ville, ou elle y serait entrée sans hésiter. Au moins, là elle savait où chercher. Oh, je vous comprends. Je suis dans le même cas, il s’agit pour moi autant de curiosité personnelle que de travail professionnel. Au moins nous avons en quelque sorte la chance de pouvoir lier passion et travail. Elle lui rendit son sourire avant de se décider à bouger. Eh bien, je pense que je vais aller régler cette acquisition et rentrer, il commence à se faire tard. Je ne tarderais pas à le déposer à la bibliothèque, au plus tard au début de la semaine, donc venez quand vous voulez. Je viendrais sûrement vous voir à la boutique un de ces jours. Ce fut un plaisir de vous rencontrer Mai. Une fois les adieux fait, elle tourna les talons et se rendit à la caisse de l’antique magasin, heureuse du dénouement de cette belle journée.

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