Ecoute bébé, si tu veux te la péter dis que tu me connais et ça ira !

   âge: 710 ans mais 35 ans physiquement. lieu de naissance et origines: Edimbourg le 08/08/1270 statut civil: A toujours été sous le charme d'une seule et unique femme. Cela fait 127 ans qu'il ne l'a pas vu. Sinon il est ouvertement bisexuel, ayant besoin d'un autre corps pour s'endormir.profession: Propriétaire et gérant de Nightclub The Hive créateur: Il est mort depuis longtemps. dons particuliers: Ceux des vampires. Immortalité, force, vitesse, etc... méthode de chasse: Il achève ses victimes, sans même se poser des questions. On ne doit pas jouer avec la nourriture. quelle est votre réputation à Édimbourg: Il est le petit nouveau, l'inconnu, l'étranger même si cette ville est celle qui l'a vue naître. Elle n'est pas comme à l'époque, il ne se sent plus chez lui nulle part. Disons qu'on le connait seulement grâce à son surnom, Jack L’éventreur. traits de caractère:Charmeur, rebelle, intelligent, cultivé, têtu, souriant, drôle, sensuel, poli, talentueux, mélomane, respectueux, galant, éperdument amoureux. Violent, gourmand, sadique, joueur, légèrement égocentrique, beau et conscient de l'être, dépressif depuis l'absence d'Alice, manipulateur. crédits: Bazzart, google image. groupe: show me your teeth.

   

   ✝ 001. Il est un excellent chasseur, il est capable de traquer ses proies pendant des jours sans se lasser. En pouvant se changer en loup grâce à sa condition de vampire, cela augmente son instinct de chasseur. ✝ 002. Les humains sont pour lui de la nourriture, juste cela. Il leur parle pourtant comme un ami, il connait et apprécie plusieurs êtres humains mais si il doit se nourrir, il n'hésitera pas. ✝ 003. Il a 710 ans et tellement de sang sur les mains qu'il ne distingue plus la couleur de sa peau. Il a massacré des villages, des villes, des familles entières parfois jusqu'à faire la une des journaux tant ses massacres étaient terribles. Il est notamment connu sous le nom de Jack L’éventreur, ayant fait la une des journaux en 1888 à Londres.✝ 004. Il a participé à la première guerre d’indépendance Écossaise aux côtés de William Wallace. Il a été comme ce dernier, attrapé, emprisonné et jugé pour haut trahison envers la couronne.✝ 005. Il a été exécuté en 1305 tout comme son ami et maître, William Wallace. Pendu devant une foule en délire, il a succombé rapidement à l'asphyxie. ✝ 006. Il n'était pas véritablement mort. Son cœur n'a pas cessé de battre et lorsqu'il a été décroché de la corde trop tôt, un homme l'a emporté et transformé.✝ 007. Cet homme n'était autre qu'un paysan, vampire, qui refusait de participer à la rébellion mais qui a vu en Gabriel un énorme potentiel. ✝ 008. Gabriel a passé des années enfermés avec son créateur jusqu'à ce qu'il finisse par s'enfuir pour découvrir le monde, il avait une centaine d'années. ✝ 009. Là il a rencontré Echo-Alice qu'il a transformé, il avait 200 ans environs. Il l'a aimé, adoré, d'un regard. Trouvée en pleine nuit alors que son carrosse fendait le brouillard, il n'a pas pu la tuer. ✝ 010. Mais son créateur l'a rattrapé et pour se venger, bien des années après, il a tout fait pour charmer Echo-Alice, coucher avec et enfin briser le couple que Gabriel et Alice formaient. Gabriel, fou de rage, à massacrer son créateur pendant que ce dernier dormait. ✝ 011. Après sa séparation avec la seule femme qu'il a aimé, Alice, il a erré seul, sans but, tuant plus encore jusqu'à plus soif. ✝ 012. Il vient de revenir à Edimbourg pour terminer ses joues, jusqu'à ce qu'il décide d'en finir. Sans elle la vie, l'immortalité, ne vaut plus rien. Dépassé, incroyablement seul, il vient d'acheter un NightClub, The Hive, pour se donner un semblant de but. ✝ 013. Véritable mélomane, il joue de plusieurs instruments comme le piano, la guitare, la batterie, le violon et même le clavecin. Il parle également plusieurs langues dont l'Allemand, l'Anglais, le Français, l'Arabe, le Russe, l'Italien, l'Espagnol, le Gaélique Écossais et Irlandais. Également plusieurs langues mortes dont le Latin et le Grec Ancien. ✝ 014. Également un peu artiste, il peint et sculpte en fonction de ses envies et humeurs. Même si depuis qu'Alice n'est plus dans sa vie, il fait des tableaux tristes et des sculptures sans visage. ✝ 015. Il a aimé, adoré, adulé Alice plus qu'il ne l'aurait jamais pensé. Elle était son univers, tout c'est effondré lorsqu'elle l'a trahie. ✝ 016. Depuis il ne vit pas, il survit. Pensent de plus en plus au suicide, rien n'a la même saveur sans elle. Elle donnait un sens à son immortalité, elle est la seul qui le comprenait vraiment. Totalement addict, il la cherche dans des amantes et des amants qui lui sont fades, et qu'il tue après avoir profité de leur corps. ✝ 017. Gabriel est un homme très sensuel qui aime les plaisirs de la chair, du bon sang et de la vie. Il s'émerveillera devant un bon morceau de musique, un verre de sang très fin où un beau corps, en gardant tout de même un grande part de mélancolie en lui. ✝ 018. Son prénom lui a été donné en l'honneur de l'archange Gabriel, ses parents étant très croyant il a été élevé dans une famille très catholique. Il pratique toujours sa religion d'ailleurs, même si il est damné. Son deuxième prénom a été décidé par lui même en l'honneur du premier vampire, Caïn, un des fils d'Adam et Eve, répudié. ✝ 019. Il se moque un peu des autres races, de ses semblables ou des sorciers et humains. Il en s'en occupe pas, faisant sa vie comme bon lui semble. Disons que tant qu'on ne le titille pas, on ne le trouve pas. ✝ 020. Il est un pur Écossais qui aime la bagarre lorsqu'elle est nécessaire. Assez violent, il est un excellent combattant qui n'hésite pas à user de toutes les ruses pour gagner. A l'aide de sa nature de vampire et des avantages qu'elle apporte, il perd rarement un combat, cela n'a pas dut arriver depuis des siècles.
   

Je suis le fruit d'une relation tout ce qu'il y a de plus banal. Un père paysan, une mère aimante et douce, quoi qu'un peu trop caractérielle. Les Écossais ont le sang chaud même si leur pays est froid, c'est assez connu d'ailleurs. J'ai grandi dans une famille calme où l'on m'apprenait la valeur du travail, mon père se levait au chant du coq pour s'occuper de ses bêtes, du champ.E t ma mère n'avait jamais le temps de se reposer avec 5 enfants donc trois fils. J'étais l’aîné de mes frères, je les adorais. Ils avaient tendances à faire hurler mon père jusqu'à prendre des coups de bâtons, mais ils n'avaient aucun fond mauvais en eux. Seulement le besoin de s'amuser. Souvent, nous allions courir dans la forêt, poser quelques pièges et ramener du gibier afin de nous offrir un repas assez royal. Enfin pour nous, à l'époque, trois écureuils, un lapin et quelques légumes était un repas royal. Souvent j'aidais mon père, dés que je le pouvais du moins car mon travail se passait principalement à la forge du village. Je devais apprendre à forger et manipuler le fer, afin de fabriquer des ustensiles de cuisine. C'était ce que l'on racontait, même si le soir lorsque les gardes Anglais dormaient, je fabriquais des épées en cachette, avec l'accord de mon maître forgeron. La révolte contre les Anglais qui massacraient notre pays grondait, apparemment cela datait de bien avant ma naissance. Nous devions nous protéger avec des armes, c'est pour cela que je passais des nuits à forger des épées, parfois je ne dormais pas. Je suis très vie devenu un homme, laissant mon corps d'adolescent pour une musculature fine et assez imposante. De mon mètre quatre vingt-dix, je regardais le monde de haut.

J'allais me marier lorsque la révolte a éclatée. J'avais 25 ans, j'étais jeune et très beau, fort, puissant, j'étais un guerrier dans l'âme qui s’entraînait la nuit dans la forêt lorsque je ne risquais rien. La première guerre d'indépendance Écossaise aux côtés de William Wallace. Les hommes se déplaçaient pour le rencontrer, pour se battre et s'unir à lui afin de libérer notre pays. Ma grande taille, mon habilité à l'épée m'ont permis de rencontrer cet homme noble qui deviendrait mon ami et mon maître. Je me suis battu pour lui pendant des jours, sans jamais remettre en question ses ordres. J'ai prit une flèche pour lui, j'en garde encore la cicatrice sur ma cuisse droite. Je suis mort avec lui, pendu à ses côtés en 1305 alors qu'il était éventré pour haute trahison. Nous avons été vendus par des nobles qui voulaient la fin des combats, des lâches qui doivent brûler en enfer encore aujourd'hui. L’Écosse magnifique, libre, ne serait pas pour aujourd'hui. Évidemment nous avons été, William, quelques amis et moi même, jetés en prison avant d'être jugé. Trahison envers la couronne Britannique qui à l'époque, régnait en maître sur notre pays. Nous avons été massacré et alors que je me balançais au bout d'une corde afin de payer pour mes crimes, le bourreau a décidé de me détacher. Je ne me souviens de rien à part le visage d'un homme, très beau, très fin, qui se penche au dessus de moi et qui m'emporte à travers la foule. J'ai perdu connaissance, peut-être que le bourreau a été payé par cet homme afin de me détacher avant la fin. Je ne sais pas, je n'ai jamais vraiment su. Il était mon maître, mon futur créateur. Et si il ne pouvait pas sauver William Wallace car ce dernier était trop connu, il m'a offert l'immortalité à moi, car il me voulait comme fils, c'est ce qu'il m'a dit.

J'ai ouvert les yeux sur une seconde vie, une vie immortelle et magique. Je n'avais plus de famille, étant également mort dans la révolte, massacré par els soldats Anglais ivres de vengeance. J'étais seul, afin pas tant que ça. Mon créateur m'a tout appris comme si j'avais été son fils, seulement ayant peur de me perdre, il a refus » que je sorte sans lui. Je le suivais partout, sans protester. Pendant une centaine d'années j'ai été comme son bras droit, son second. Avant de m'enfuir et retrouver la liberté. Découvrir le monde, arpenter la terre du moins ce qui était connu jusque là. C'est un soir que je l'ai rencontrée elle. Son carrosse fendait la brume d'une froide nuit d'hiver, j'ai senti son parfum à plusieurs kilomètres. Automatiquement je me suis approché d'eux aussi vite que je le pouvais. Je n'ai pas hésité avant de m'en prendre aux gardes, au chauffeur et lâcher les chevaux pour qu'ils s'enfuient dans la foret. Le carrosse dans l'attaque c'est accidenté, une roue c'est brisée et le véhicule est tombé sur le côtés. Rêvant de voir le propriétaire de cette odeur si alléchante, j'ai ouvert la porte du carrosse. Un homme et une femme, ce n'était pas lui. Alors sans une once d'hésitation dans mes gestes, je l'ai tué pour la prendre elle, l'emporter chez moi. Elle est devenue mon infant, ma création. Car dés que j'ai posé mes yeux sur elle, j'ai su que je ne pourrais plus m'en passer. Elle m'est devenue vitale, dés que son sang est entré en contact avec ma langue, un lien indescriptible nous a unis. Je l'aimais. Pour la première fois et éternellement, je l'aimais.

Mais le bonheur n'est pas fait pour moi, je n'ai pas goûté a ce sentiment parfait depuis mon enfance. Si bien que mon créateur que j'avais alors abandonné a retrouvé ma trace et après plusieurs siècles avec Alice, cette dernière a été charmée par mon créateur. Étant bien plus puissant qu'elle, il a réussi à la manipuler pour coucher avec. Je les ai surpris, l'un avec l'autre dans le même lit. Une dispute, une séparation après et me voilà seul avec pour seule compagnie ma haine. C'était début 1888 à Londres et en guise de vengeance, j'ai massacré des femmes dans le quartier de WhiteChappel à Londres, fin 1888. On m'a surnommé Jack l’Éventreur a cause de l'horreur de mes crimes. Simplement porté par ma colère envers les femmes dont une qui m'avait trahis, je n'ai pas hésité avant de massacrer 5 victimes. J'ai finalement arrêté, risquant de me faire arrêter en attirant trop l'attention sur moi. Finalement j'ai retrouvé mon créateur, je lui ai demandé les raisons de son geste. Il voulait simplement se venger de mon départ et pour ça il a touché la seule femme que j'aimais le plus au monde, ma femme. Je l'ai tué, sans plus de cérémonie. J'ai attendu qu'il dorme pour lui porter le coup fatal. Je l'ai attaché avec une chaîne en argent, solide et puissante, ce qui a eu pour don de l'immobiliser assez. Enfin juste avant que le soleil se lève, je l'ai attaché à un arbre. Le soleil c'est levé, il a brûlé.

Et moi... Qu'est ce que je pouvais faire ? Je n'étais plus avec Alice, souffrant de sa trahison dont elle n'était même pas responsable, j'ai agis sans réfléchir. Je l'ai accusée et bien sur, je n'ai pas réussi à la trouver après cela. Pour lui parler, s'expliquer, comprendre ce qui a pu se passer. Depuis j'ai erré un siècle dans le monde avant de retourner à Édimbourg, ma ville de naissance. Je connais le monde par cœur, j'ai tout vu, tout fait. J'ai assisté aux guerres, aux massacres sans vouloir prendre part aux combats qui ont changés la face du monde maintenant. J'ai vécu égoïstement avec cette femme qui était tout pour moi, mon alter-ego, le morceau de mon âme déjà damnée. La fin va venir, ce n'est qu'une question de mois avant que je ne vienne admirer les rayons de l'astre brûlant. Sans elle, ma vie, mon éternité est tellement fade. Afin de passer le temps et de vivre encore convenablement, je viens de racheter un Nightclub, l'endroit est assez connus et il semblerait que ma légère réputation attire du monde. Je suis pour l'instant un étranger, je suis chez moi et pourtant sans Alice, ce monde n'est plus ma demeure.