Katarina "Kat" Willemburg

   âge: écrire ici. lieu de naissance et origines: Née à Londres de parents américains d'origine, descendants de rescapés allemands de la grande exode germanique au moment du nazisme, un soir de Novembre 1989. statut civil: célibataire. profession: fleuriste.  famille et/ou coven: elle n'est avec personne pour le moment. dons particuliers: Elle maitrise les plantes. tradition sorcière et type de magie de la famille: C'est une chamane . qu'est-ce que votre personnage sait du surnaturel: Elle y baigne depuis sa tendre enfance, ses parents étant tous deux des chamans, chose rare pour des germaniques. quelle est votre réputation à edimbourg: Kat est vu comme la jolie fleuriste un tantinet timide et solidaire mais toujours polie et aimable avec ceux qui passent la porte de sa boutique. Tous son aussi émerveillé par la lumière qui baigne son visage lorsqu'une fleur éclos sous ses yeux.  traits de caractère: Kat est une jeune femme pleine de vie mais avec une carapace de solitude, d'une rare gentillesse et d'un calme olympien. Elle est empathique, polie et généreuse. Mais comme toutes les belles médailles le revers n'est pas forcément des plus heureux, incisive et rancunière, elle sait faire preuve d'une violence certaine par les mots et les actes. Lorsqu'on perd sa confiance il faut déplacer des montagnes pour espérer la retrouvercrédits: écrire ici. groupe : burn the witch.

   

   ✝ 001. Elle est catholique orthodoxe, ainsi elle aime aller à la messe lorsqu'elle se tient à l'extérieur d'une église. ✝ 002. Elle a tapissé les murs de chez elle de plantes qui sont la prunelle de ses yeux. Tout son chez elle est aménagé de façon à ce que ses plantes s'épanouissent et coulent de beau jour. ✝ 003. Elle a déjà aimé follement, un humain. Mais elle s'est résigné à abandonner cet amour par crainte d'être découverte. ✝ 004. Elle a une chouette en tant qu'animal de compagnie. Elle l'a retrouvée avec une aile abimée lors d'une promenade, la chouette après avoir été soignée n'est jamais repartie même si Kat lui laisse toujours une fenêtre ouverte pour qu'elle le fasse. ✝ 005. Elle aime bien changer de couleur de cheveux. ✝ 006. Elle a une pièce qu'elle ferme à clé où elle pratique sa magie et elle en porte la clé autour de son coup grâce à une longue chaine en argent. ✝ 007. Elle a un style assez singulier, sous parée de noir et de blanc mais elle se fiche de son qu'on pense d'elle. ✝ 008. Le matin elle mange des œufs brouillé ou des céréales multicolore ou des pancakes avec un thé ou un café. ✝ 009. Elle adore lire sous les chênes. ✝ 010. Elle adore la maquillage aussi.

   

   Je suis en train de me regarder dans le miroir et le reflet qu’il me rejette me laisse perplexe. Je suis tellement fine, presque maigre pour certaines personnes et pourtant je suis en parfaite santé. Je suis grande, vraiment. J’ai atteint les un mètre soixante-quatorze peut avant que le temps fasse de moi une femme et j’ai réussi à atteindre tant bien que mal le mètre soixante-seize après que mon corps eut fini de se transformer en cygne. J’aime mon corps, mon visage, la délicatesse de mes traits, mon nez fin, mes grands yeux bleus pâles et mes lèvres joliment dessinées. J’aimais voir comment mes muscles roulaient sous ma peau fine et laiteuse, comment mes cheveux noirs de corbeaux balayaient mes épaules graciles. J’aimais mes formes, bien que discrète. J’étais une jolie fille déjà à mon âge mais ce que j’aimais le plus dans toute cette enveloppe charnelle qu’était mon corps, c’était le pouvoir qui l’habitait. J’étais une sorcière, un être qui aurait dû n’exister que dans les livres pour enfants et pourtant j’en étais une, descendante d’une longue lignée de sorcières et de sorciers… On retrouvait dans mes aïeux quasiment tous les pouvoirs liés à la terre et moi pourtant j’étais comme ma mère, une sorcière qui murmurait aux oreilles des plantes. Je n’ai pas eu de mal à me faire à l’idée que j’avais des dons car mes parents m’ont toujours montré depuis que j’étais petite ce qu’ils savaient faire, mon père avec la météo et ma mère avec les nombreuses plantes qui vivaient chez nous et c’était une merveille. Tout ça était une merveille et pourtant je devais me taire et mentir au monde entier, excepté mes semblables, car c’était une loi, une loi qu’on ne pouvait transgresser, ne serait-ce que pour honorer la mémoire des sorcières de Salem.

to be continued ...