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MessageSujet: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 1:45


   

Patti Monkeys

I'm coming up man-sized

Skinned alive

I want to fit

I've got to get

Man-sized


Introduction aux ténèbres

âge: Ses papiers prouvent qu'elle est née il y a 28 ans de cela, le 15 Septembre 1987. Mais elle ne sait rien de plus de sa naissance, ni des premiers instants de sa vie, ni de ses parents. Ne pensez pas qu'elle s'en préoccupe, qu'elle s'en inquiète, elle est sûre que sa mère biologique avait de très bonnes raisons d'accoucher anonymement et qu'elle ne s'en porte pas moins bien aujourd'hui. lieu de naissance et origines: Encore une fois, ce sont ses papiers officiels qui lui indiquent qu'elle est née à Kiel, dans le nord de l'Allemagne. Par conséquent, elle a la nationalité allemande en plus d'être écossaise par adoption. Peut-être que ça lui servira un jour, pour l'heure, elle est anti-patriotique, alors pensez bien que ces papiers administratifs, elle n'en a que faire. statut civil: Les différents statuts civils n'ont jamais été son fort, elle n'a jamais été réellement célibataire, de son point de vue, aimant à tort et à travers, mais elle n'a jamais non plus vraiment été en couple, du moins, pas dans le sens traditionnel du terme. Mais elle fréquente bien quelqu'un depuis quelque temps, si ça fait d'elle quelqu'un de plus en couple que célibataire, alors soit, elle est en couple. profession: Elle est entrée en possession du Gladstone Pub il y a quatre ans de cela, elle en est donc la propriétaire actuelle. famille et/ou communauté: Elle fait partie de cette grande masse informe que sont les humains sans intérêt particulier. qu'est-ce que votre personnage sait/pense du surnaturel: Elle n’a pas connaissance de l’existence du surnaturel et n’en sait donc que ce qu’en disent les mythes et légendes. quelle est votre réputation à edimbourg: Celle d'une excentrique, agaçante et alcoolique notoire, qui devrait probablement aller consulter un spécialiste pour qu'on vérifie si elle n'aurait pas une quelconque pathologie psychologique, voire psychiatrique.

traits de caractère: Vous vous ennuyiez sur une terrasse de café. Édimbourg vous semblait bien morne aujourd'hui, les passants se pressaient pour se mettre à l'abri de la pluie, les serveurs vous regardaient mécontents : quelle idée de se mettre en terrasse quand il pleuvait des cordes ? Vous ne pouviez pas attendre quelques minutes, le temps de boire votre bière, avant de fumer ? Vous jetâtes un coup d'œil aux gens qui passaient, reconnaissant parmi eux quelques collègues. Après une gorgée, une chevelure brune attira votre regard. Vous levâtes la tête pour mieux observer cette silhouette féminine qui s'approchait à grandes enjambées de votre table. Sa démarche était assurée, ses hanches ondoyaient sans pour autant que sa dégaine s'en trouva vulgarisée. Elle avait le pas lourd, balançant ses jambes en avant, comme si elle sautait de pavé en pavé, plutôt que de marcher. Elle semblait plutôt chétive. Petite, elle l'était d'autant plus qu'elle allait pieds nus sous la pluie. Son short noir, relativement court, laissait voir de longues jambes, tandis qu'une chemise blanche ne laissait guère deviner la taille de sa poitrine, qui ne devait, de toutes manières, pas être proéminente. Mais ce qui vous impressionnait, c'était ses cheveux. Attachés avec négligence, des mèches s'enfuyaient çà et là, l'une tombant sur sa nuque, l'autre chatouillant son menton. D'une bonne épaisseur, ils encadraient un visage aux traits à la fois doux et bruts. Soudain, elle sourit. Peut-être venait-elle de se faire une réflexion personnelle très amusante, toujours est-il que son sourire, éclatant de bonne humeur, laissa apparaître des dents relativement blanches, bien alignées si ce n'était une incisive, quelque peu en avant, et une autre fendue sur les trois quarts de sa hauteur. Ses yeux, d'un marron profond, surplombés de longs cils noirs, vous observaient désormais, ayant pris conscience d'être observés, par-dessus des lunettes de soleil rondes. Un sourire se dessina sur ses lèvres, charmeur, sans l'ombre d'un doute, étirant par la même occasion le coin de ses yeux, qu'elle avait campés en amande. Elle qui ne devait marcher que dans une direction proche de la vôtre acheminait maintenant son charmant portrait droit sur vous. Pressé par le temps, vous l'observiez alors avec plus de vivacité. Elle portait un long blazer aux motifs colorés, de nombreux bijoux, dont la majorité se trouvait répartie sur ses longues mains fines. Elle arriva enfin à votre hauteur, s'appuyant sur la table en tournant ses avant-bras, vous fixant droit dans les yeux. « Vous désirez quelque chose ? » Sa voix s'était faite taquine, comme amusée par l'observation détaillée que vous veniez de faire d'elle. Son timbre était assez grave, suave presque, ce qui la rendait agréable et chaleureuse. Vous vous surprîtes alors à lui répondre, avec effronterie. « Peut-être bien... Et vous ? » Elle sourit, s'assit face à vous, croisa ses jambes. Très polie, presque révérencieuse, elle commanda une bière.

Contrairement à ce que vous aviez pu croire en la voyant arriver, déterminée et sûre d'elle, vous la trouviez dorénavant plutôt accessible. Elle vous souriait, parlait avec désinvolture autant qu'engagement, abordant des sujets aussi divers que variés. Elle porta sa pinte à sa bouche, se délectant d'une ou deux gorgées avant de la reposer sur la table. « Alors? » Toute à sa contemplation, vous en aviez oublié la question qu'elle venait de vous poser. Elle comprit ce qui se passait dans votre tête rien qu'à voir votre expression. Un rire, profond et pas très gracieux, s'échappa de sa gorge, le plus naturellement du monde. « Je te demandais d'où tu venais, mais j'avoue que ce n'est pas une question très intéressante alors gardons le mystère... je pourrais imaginer que tu as été élevé par deux mères homosexuelle en Allemagne de l'Est, qui ont dû se cacher et te cacher, ou alors que tu es l'héritier d'un Prince slovaque, ou encore un simple paysan canadien, en fuite sur le vieux continent pour avoir tué sa petite amie. » Vous ne saviez quoi lui répondre, aussi sourîtes-vous un instant, amusé par ses réflexions, mais un peu surpris par la fantaisie dont elle faisait preuve, sans aucun détour. Elle vous semblait être quelqu'un de franc à l'extrême, peut-être même un peu trop franche pour son propre bien si on y pensait, allez savoir sur qui elle pouvait tomber ! Et bavarde. La belle ne s'arrêtait pas de parler, débitant des phrases qui n'avaient pas forcément rapport les uns avec les autres, ou si elles avaient un lien, seule son interlocutrice en avait conscience. Elle était très vite passée au tutoiement, au bout de deux phrases échangées pour être exact, mais sa familiarité ne choquait pas. Étonnamment, et bien qu'elle sembla être charmeuse et quelque peu impulsive et sans gêne, elle pouvait être familière avec n'importe qui sans que ce dernier ne s'en sente offensé, ou agressé. De nombreuses fois, elle se montra caustique, parlant sarcastiquement de thèmes pas toujours politiquement corrects. Elle était très critique sur bon nombre de sujets, vous vous en étiez très rapidement rendu compte.

Soudain, elle appela le garçon de café, régla l'addition pour vous deux et vous attrapa par le poignet. « Profitons de cette éclaircie, j'ai bien envie de me promener, pas toi ? » Le contact de sa main sur la vôtre vous surpris, mais ne fut pas désagréable et vous acceptâtes de la suivre. En traversant, une voiture manqua de vous bousculer. La dénommée Patti se mit à pester, râlant contre le manque d'attention de ce chauffard mal avisé. Elle ajouta même qu'il ferait mieux de ne pas la croiser plus tard car elle avait une excellente mémoire et qu'elle n'aimait pas qu'on traita les gens ainsi, d'autant plus ceux qui ne polluaient pas la planète dans leurs véhicules malodorant ! Rancunière ? Lorsque vous lui posâtes la question, elle convint qu'elle l'était peut-être un peu. Vous entrâtes alors dans la première boutique qu'elle avait envie de visiter. Sautant d'un portant à l'autre, elle examinait avec hâte les vêtements qui s'y trouvaient suspendus. Elle semblait débordée, laissant vagabonder son regard d'une pièce de tissu à une autre, s'impatientant lorsque le vendeur ne lui donnait pas assez rapidement l'information dont elle avait besoin, même si elle n'en restait pas moins polie. Dans une autre boutique, un monsieur vous dit que vous formiez un beau couple. La rouquine s'approcha alors de vous, passant son bras sous le vôtre et vous couvant du regard. « N'est-ce pas ? » Vous haussâtes un sourcil, surpris, sans faire de commentaire. Elle dépensait, beaucoup. Pas uniquement pour des vêtements, à vrai dire, la plupart de ses achats avaient été des bouquins, qu'elle engouffrait dans son sac qu'elle commençait à porter avec difficulté. Affectueuse, elle s'amusa à jouer la tendre à vos côtés pendant les quelques boutiques que vous fîtes ensuite.

Vous voulûtes alors trouver de quoi manger. Elle avait envie de manger thaï, mais la boutique de restauration rapide à laquelle vous aviez d'abord pensé était fermée. Mais, entêtée, elle voulut quand même trouver un autre restaurant qui servit ce type d'alimentation. Elle finit par le trouver et vous y traîna, sans mal. Elle chuchote alors à votre attention une nouvelle idée de jeu. « Vous avez joué mon homme, maintenant, jouez mon père, vous en avez l'âge. » Elle n'avait pas tort, mais la situation vous paraissait un peu déplacée. Il était évident que dès le départ vous étiez l'un et l'autre tombé dans un jeu de séduction, amusant, divertissant et original, si bien qu'il vous semblait malsain de prétendre une relation toute autre. Il était étonnant qu'elle soit d'un coup repassée au vouvoiement, mais ça devait faire partie de son jeu également... et il marchait plutôt bien car la nouveauté toujours renouvelée de la manière dont elle s'adressait à vous ne manquait pas de vous charmer. Attentionnée, elle vous ouvrit la porte du restaurant, vous appelant soudainement Papa, sans que ça ne semble la déranger. Elle commanda une quantité astronomique de plats, pour elle seule, et se montra très attentive à ce que vous désiriez. Vous vous assîtes à une table, dégustant vos mets. Elle vous parlait de sa nouvelle vie, vous racontant qu'il n'était pas toujours facile d'avoir quitté le cocon familial, que maman et vous lui manquiez parfois, que vous deviez lui rendre plus souvent visite, que Londres n'était pas si horrible que ça, même s'il y avait beaucoup de monde, c'était vrai. Petit à petit, vous réussissiez à entrer dans ce nouveau jeu.

En sortant, elle s'écarta de vous de quelques pas et commença à imposer une cadence de marche assez dynamique, tout comme elle semblait être une jeune femme très active. Alors que vous étiez en sa compagnie depuis déjà trois heures, vous n'en saviez pas plus que son nom et son caractère fantasque. Elle vous parla alors, s'adressant à vous d'une bien étrange manière. « Je suppose que vous voulez des nouvelles, Professeur ? » Un nouveau jeu ? A priori. Elle changeait si vite de rôle, sans en parler au préalable, que vous vous en trouviez toujours fort stupéfait. Vous lui faîtes un signe de tête, acquiesçant silencieusement à sa question. Peut-être en apprendrez-vous un peu plus sur elle ? Ou peut-être tout ce qui sortirait de sa bouche ne sera que fabulation pour le jeu ? « Et bien, j'ai essayé de me calmer un peu depuis que j'ai quitté les bancs de l’école. Vous savez, moins de bagarres, tout ça... Non, je plaisante. Si quelqu'un me cherche, je ne vois pas pourquoi je ne devrai pas riposter, sous prétexte que je suis une fille... » Elle marqua une pause, comme si elle était honteuse de ce qu'elle venait de dire, ce qui était à coup sûr pur jeu d'actrice de sa part. « ... excusez-moi, Professeur, je m’égares. » Pour une fois, vous trouvâtes une réflexion fort à propos à utiliser dans cette situation. « En effet, mais ça importe peu. Vous avez trouvé un emploi ? » Elle sourit et acquiesça avec détermination. « Oui, barmaid à la Tête du Diable ! » Vos deux sourcils se haussèrent d'un même ensemble. « Ça ne semble  pas être un établissement très recommandable pour une jeune fille ! » Elle haussa les épaules. « Oh vous savez, je suis débrouillarde... » Vous continuez ainsi à parler un peu avec elle, piochant çà et là des informations qui vous semblez intéressantes.

Vous allâtes alors partager une tasse dans un salon de thé, où le jeu semblait être revenu à la normal, à savoir : deux inconnus qui se cherchent. À la fin de votre thé au jasmin, vous lui tendez la main, un peu maladroitement. Elle l'attrape, vous tire un peu et dépose un baiser sur votre joue avant de vous donner son numéro de téléphone. « C'était amusant. » Elle s'en alla sur ses paroles, sans même se retourner. Un étonnant personnage, vous ne saviez pas si vous vouliez la revoir ou garder le souvenir intact de cette rencontre peu habituelle.

crédits: google. groupe: beating hearts.



Le monstre prend vie

001. elle commence et termine sa journée par un verre de muscat. Elle n'est pas alcoolique pour autant, du moins, c'est ce qu'elle dit, mais lorsque l'on voit l'alcool qu'elle peut ingurgiter lorsqu'elle travaille à son pub, il y a de quoi se poser des questions. 002. elle déteste vivre au rez-de-chaussée d'un immeuble, préférant un appartement dans les étages les plus élevés. Non seulement la vue y est plus agréable, pour peu qu'on ait la chance d'être suffisamment haut pour ne pas avoir de vis à vis et pouvoir observer les toits des autres, mais en plus, on est moins embêté par les passants sous ses fenêtres... 003. elle déteste les enfants. Elle n'a pas vraiment quelque chose contre eux, individuellement, mais elle préfère quand ils ne sont pas dans ses pattes et n'aime pas plus que ça entendre les parents parler de leur progéniture. 004. il est possible de lui acheter quelques drogues, mais il faut soit être un habitué du pub, soit une connaissance, voire un ami, car elle n'est pas non plus vendeuse, ce n'est que pour dépanner certaines personnes et arrondir ses fins de mois. 005. elle n'a compris que tard (vers la moitié de la vingtaine) qu'elle était asexuelle et qu'elle n'était pas obligée de se forcer à avoir des relations sexuelles pour faire comme tout le monde, ce fut un réel soulagement. Le sexe ne l'a jamais dégoûtée, c'est juste quelque chose dont elle n'a pas envie, un peu comme quelqu'un qui n'est pas dégoûté par l'athlétisme, mais qui n'éprouve pas l'envie de pratiquer. Cependant, elle apprécie baisers et caresses, même avec un peu de passion et ne refuse pas systématiquement les préliminaires. 006. elle a vécu dans sa voiture pendant quatre ans, voiture qu'elle ne pouvait pas conduire la plupart du temps, vu qu'elle n'avait pas assez de sous pour payer l'essence. 007.  elle n'a plus de voiture et de toutes manières n'a plus de permis, l'ayant perdu après plusieurs conduites en état d'ivresse. Elle n'a pas désiré le repasser depuis, se considérant comme un danger public lorsqu'il est question de conduite. Elle n'a jamais renversé quiconque, mais elle a repris ses esprits, une fois, sans avoir idée de comment elle avait pu conduire jusque là, ni du pourquoi un policier lui demandait ses papiers. C'est là qu'elle a compris qu'il valait mieux pour elle ne jamais reprendre le volant. 008. est une pyromane refoulée, elle contrôle ses pulsions en allumant très régulièrement des cigarettes, sans pour autant les fumer ou en les fumant en plusieurs fois, ou en allumant des bougies. Il lui arrive aussi de trier ses papiers afin d'en brûler plusieurs tas. Elle a mis le feu à sa voiture. 009. ancienne accro aux antidépresseurs, elle a désormais arrêté cette consommation pour se reporter sur celle de cocaïne, sans pour autant être accro. Elle surveille de près sa consommation, histoire de pouvoir en profiter, sans tomber à nouveau dans ce cercle vicieux. 010. a peur des horloges. Ce n'est pas le temps qui passe qui la dérange, au contraire, ce sont les échéances et les horaires fixes. Elle n'a pas d'horloge, ni de montre et son téléphone n'est jamais à l'heure, si bien qu'elle finit toujours par être soit en retard, soit en avance. 011. est autrice-interprète-compositrice de rock. Elle est par ailleurs chanteuse et guitariste de son groupe, The Monkeys. Elle joue également de la contrebasse et du saxophone. 012. elle espère rester fidèle à ses principes, jusqu'au bout. Son manque de grande ambition peut sembler surprenant. Oui, elle n'a pas envie de diriger une entreprise quelconque ; oui, elle refuse de devenir la plus grande chercheuse dans un domaine précis ; oui, elle est prise d'horreur à la simple idée de devenir une célébrité, mondialement connue ; et encore, oui, elle ne supporte pas la possibilité d'avoir une carrière établie. Non, tout ça n'est pas pour elle... Mais son ambition est plus grande encore, plus improbable, plus étonnante, plus utopique : vivre sans autorité, aider les autres sans restriction et avoir confiance en tout être humain. Un défi plutôt difficile à relever pour une simple humaine, un défi que tout le monde pourrait lui annoncer perdu d'avance, un défi qu'elle n'abandonnerait pour rien au monde. 013. elle a deux chats, Nasty Bob et Bloody Lola, qu'elle adore, tout simplement, ainsi qu’un chien, nommé Dirty Samuel. 014. elle tient en horreur les religions. Elle est agnostique, se fichant éperdument de savoir s'il y a eu une quelconque volonté qui a décidé de la naissance de tout ça, se disant que si c'est le cas, cette dernière n'a plus rien à faire de ce que les hommes deviennent, elle n'a rien contre la foi et ceux qui croient en Dieu(x), elle déteste juste les institutions religieuses, le dogme religieux 015. elle est fondamentalement contre le mariage, considérant qu’en amour, il ne faut pas chercher à posséder l’autre, mais à profiter des instants en sa compagnie, sans s’inquiéter de ce qu’il fait en dehors de ce temps.



Derrière l'écran
pseudo/prénom: ade. âge: 22 ans. pays: france. fréquence de passage: deux à trois fois par semaine. personnage inventé ou scénarii: inventé. commentaires/avis: heathcliff était cool, mais on recommence tout parce qu'il m'était impossible de le jouer. avatar: poly jean harvey, la sublime.

(c) hawking
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 1:45



My babe looking cool and neat

I'm pretty sure good enough to eat

Man-size no need to shout

Let it all, let it all hang out

Histoire

Tranches de vie, souvenirs éparses, plus ou moins précis, plus ou moins vrais : on ne peut être exhaustif lorsque l'on veut raconter une vie. Dans ces conditions, nous nous satisfaisons de quelques souvenirs laconiques, irréguliers et capricieux qui tentent, en vain, de nous donner l'illusion d'une histoire compréhensible, intelligible et accessible.

3 ANS ▬ Dans la cour intérieure, en bas de cet étroit immeuble d'une petite ruelle de Francfort, retentissaient, clairs et joyeux, les cris enthousiastes de deux enfants, jouant au policier et au voleur. Les souliers résonnant sur le pavé, le visage éclairé d'un sourire sincère, Patti essayait d'attraper sa camarade. Lola et elle avaient si peu d'écart et une air de ressemblance si flagrante qu'on les prenait souvent pour des jumelles et qu'elles agissaient comme tel. Patti n'avait qu'un an lorsque Lola était arrivée à l'orphelinat et depuis, elles avaient passé leur temps ensemble. Et maintenant, la voilà, du haut de ses trois courtes années, pointant une brindille en direction de son frère : « Vous ne m'aurez pas, j'ai tué cette famille, mais jamais vous ne m'aurez. » Sur ces mots, elle jeta un regard faussement méchant à la prétendue policière avant de s'enfuir dans les escaliers, montant les marches quatre par quatre. Les deux enfants arrivèrent à court de souffle sur le palier de la salle commune et y pénétrèrent, riant d'une blague que la plus jeune avait crié en poursuivant son aînée.

5 ANS ▬ La petite Patti jouait avec les autres enfants de l'orphelinat lorsqu'une des dames qui venaient leur rendre visite de temps en temps vint la chercher. On l'avait prévenue, elle savait qu'aujourd'hui, elle rencontrait son papa. Elle dit au revoir à ses amis, les serrant dans ses bras, aussi fort qu'elle le pouvait. Elle savait qu'elle ne les reverrait pas, pour autant, elle n'était pas triste. Quelqu'un avait voulu d'elle, elle allait avoir un papa. Elle se le répéta en descendant les marches, puis en avançant dans le grand couloir du rez-de-chaussée. La femme qui l'accompagnait, lui tenant la main, ouvrit la porte derrière laquelle se trouvait son père. Mais l'enfant resta là, interdite. Elle regardait alternativement les deux hommes qui se trouvaient dans la pièce. Lequel était son père ? Et si elle en avait deux ? Ce serait merveilleux quand même ! « C'est qui mon papa ? J'ai deux papas ? » On lui expliqua que l'un des deux était son père, quand l'autre était son oncle. Elle sourit. Celui qui était son père s'appelait Archibald, il avait une expression bienveillante fichée sur son visage. Timide, mais déterminée à faire bonne impression, la gamine s'avança vers l'homme, posa sa main sur son bras et lui fit un grand sourire. Elle n'avait peut-être qu'un père, mais elle se disait que c'était mieux que de rester à l'orphelinat. Il avait l'air gentil. Elle s'empressa de lui demander s'il y avait des jouets chez lui. Ce à quoi il répondit à l'affirmative, ajoutant que ce n'était pas chez lui, mais chez eux. Elle sourit. Une nouvelle fois.

8 ANS ▬ « Papa ! Papa ! Tonton m'embête ! » La petite secouait comme elle pouvait son père, endormi sur le canapé. Ce dernier finit par ouvrir un œil, grand mal lui prit ! L'enfant se mit à déblatérer tous les griefs qu'elle avait à l'encontre de son tonton, n'omettant aucun détail. L'intéressé finit par débarquer dans la pièce, échangeant un regard complice avec son frère. Un magnifique gâteau fit alors son apparition sur la table du salon, sous les yeux ébahis de l'enfant qui en oublia aussitôt ses revendications. Elle avait oublié que c'était son anniversaire, comme tous les ans. Elle avait huit ans, c'était une grande fille maintenant ! D'ici peu, elle serait même adolescente. La petite famille s'installa autour de la table basse, on dégusta le gâteau, on se goinfra de bonbons et autres sucreries, puis on ouvrit les cadeaux.

15 ANS ▬ Ses doigts, parcourant un ouvrage quelconque avec hésitation, Patti n'entendit pas le poing du facteur rencontrer avec fracas la porte de leur petit logement. Ce fut son père qui alla ouvrir et récupéra le courrier, deux lettres et un colis. « Pat', il y a la copie de ton bilan. » Il s'approcha du canapé, de seconde main, lui tendit la missive, souriant de toutes ses dents. Elle avait passé plusieurs tests, quelques jours plus tôt. On lui avait déjà annoncé le verdict, elle se savait désormais thqi. Elle mettait désormais un mot sur sa différence, mais elle avait encore du mal à l'accepter. Elle tourna la tête pour voir son père, le visage penché au dessus de son épaule. Il l'embrassa sur le front, jouant un temps avec ses cheveux comme il le faisait lorsqu'elle était enfant. Il se retourna rapidement pour aller préparer le repas, la laissant se plonger dans la description qu'un individu extérieur avait fait de sa personnalité et de ses capacités intellectuelles, émotionnelles et sociales.

16 ANS ▬ Un moineau vint frapper à la fenêtre de la jeune Monkeys. Elle ouvrit la fenêtre, laissant l'oiseau s'engouffrer dans sa chambre. Elle se leva, cherchant dans un de ses tiroirs quelques biscuits et finit par en trouver aux amandes. Elle effrita le petit palet puis tendit la main au volatile qui commença à picorer avant de s'en aller, visiblement satisfait. Elle referma la fenêtre et posa son regard sur la lettre qu'elle venait de finir. Elle espérait que son père se remettrait de son départ.
La vie me déçoit. On n’a eu de cesse de me dire que je regretterai cette douce période qu’est l’enfance, ou même encore cette période de rébellion qu’est censée être l’adolescence ; que viennent après des années de travail et de responsabilités. Mais tout ce que j’ai pu expérimenter jusqu’ici, c’est l’insipidité d’un chemin déjà tout tracé ; l’insurmontable et inéluctable cercle vicieux d’un train de vie déprimant. Enfant, on te dit quoi penser, que faire et quand le faire. Adolescent, on critique les premières apparitions de ta pensée propre. L’éducation, pas seulement la tienne - la tienne peut-être même moins que d'autres, est un long processus visant à étouffer l’individu tout puissant qui sommeille en nous. Si la vie me déçoit tant aujourd’hui, c’est que je n’ai pas encore eu l’occasion d’exprimer ma personnalité… j’ai dû suivre, sans broncher, ou si peu (si conventionnellement, comme tout adolescent, devrai-je dire), les chemins sous-entendus par toute cette société stérile et linéaire. On me sait des capacités dans un nombre relativement important de domaines, mais on voudrait borner ces facilités, en faire ce qui me définit, les inscrire dans une logique productiviste, utilitaire et marchande. On voulait ma réussite sociale, quand je ne désire que mon épanouissement individuel. On veut pour moi une réussite dont je n’ai aucun désir, car elle ne repose que sur l’appréciation pratique de mes pairs. Tu comprendras, papa, pourquoi je m'en vais. Je vous quitte, toi et tonton, et ne sais pas quand je vous reviendrai. Je fête aujourd’hui mes seize ans et je ne les fêterai pas en votre compagnie, une première. Je ne sais pas quand je vous reviendrais, mais je le ferai, parce que je vous aime.

19 ANS ▬ Le froid mordant agressait ses orteils. Patti se retourna sur sa banquette arrière, essayant de s’emmitoufler plus encore dans son duvet et sous cette épaisse couverture, mais le froid avait pris le dessus et il ne lui semblait plus possible de se réchauffer. Elle leva le bras, lentement, vers le siège avant, attrapant une bouteille de rhum. Quelques gorgées lui suffirent à ne plus penser à la torpeur qui s’emparait petit à petit de son corps et elle finit par s’endormir. Elle n’avait pas de mal à vivre dans sa voiture, mais depuis qu’elle n’avait souvent plus assez d’argent pour faire le plein, l’hiver n’était plus aussi facile à supporter. Demain, elle se levait tôt… elle travaillait à quelques pas de son emplacement, dans un petit restaurant. Mais elle devait d’abord passer chez un ami, afin de se rafraîchir et de récupérer des vêtements propres. Cela faisait un an que ça durait et contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’était bien plus par choix que par dépit. Comme souvent, elle avait d’un coup claqué la porte de sa vie, de ses responsabilités… pour essayer de retrouver ce vent de liberté. Loin des obligations sociales, loin des obligations économiques, loin de tout ce qui finissait toujours par la dégoûter. Alors qu'elle s'était trouvé un emploi plutôt intéressant aux archives de la ville, elle était partie, sans prévenir. Elle avait rendu sa démission, ses clés d’appartement, pour la rue, ou plus précisément, sa voiture. Et elle ne comptait pas retourner de si tôt dans un logement plus traditionnel.

21 ANS ▬ Dans un coin de la salle, deux filles au sol. Dans les cheveux de l’une d’elles se mêle le vomi de l’autre. Une scène assez courante tant les soirées s’enchaînent dans ce lieu de débauche assumée. À quelques pas seulement, un groupe de jeunes se demandent s’ils doivent raccompagner un ami mal en point ou s’ils le laissent se débrouiller. Leur égoïsme et leur irresponsabilité prendra le dessus et ils finiront par le laisser en plan pour aller prendre un ou deux rails de cokes. Plus en avant, les gens se bousculent, se fonçant les uns sur les autres, sans ménagement, s’écrasant contre la scène de vieilles planches les surplombant, hurlant à l’intention du groupe qui jouait pour eux. L’ambiance pouvait sembler agressive à n’importe quel néophyte, mais ce n’était rien d’autre qu’une grande famille de pommés qui profitaient de ces moments de liberté, appréciant la spontanéité des accords, des paroles et des rythmes de leurs musiciens, appréciant d’être enfin parmi tant de personnes les comprenant… appréciant, tout simplement, de ne plus se sentir seuls. Patti s’était usée la voix la veille et essayait d’y faire attention, un peu, si bien que sa prestation ne lui semblait pas à la hauteur de ce qu’elle avait l’habitude de produire. En sueur, elle finit de balancer les dernières paroles du dernier morceau, puis ce furent les derniers accords et l’on se réjouit, on hurla, on se retrouva hors de la scène pour continuer la soirée en profitant de l’alcool gratuit offert par les propriétaires du bar.

22 ANS ▬ Accoudée à un poteau, à quelque pas de l'agitation, Patti observait ce qu'elle avait provoquée, un lourd sac jeté sur son épaule. Dans ses yeux se reflétaient les flammes qui consumaient ce qui avait été son logement jusqu'alors. Une forte odeur de brûlé lui chatouillait les narines, pendant qu'un sourire béat étirait ses lèvres alors qu'elle contemplait sa voiture partir en fumée. Plusieurs personnes s'étaient attroupées, par curiosité et inquiétude. Bientôt, les pompiers firent leur apparition, mais lorsqu'ils réussirent à maîtriser le feu, il ne restait de la petit MG anglaise qu'une carcasse de ferraille meurtrie. Sa propriétaire tourna alors les talons pour s'en aller. En attendant de trouver un lieu où s'installer, elle crécherait chez sa batteuse qui vivait avec son copain et trois de leurs amis.

23 ANS ▬ « Patti ! Patti, pour l'amour de Dieu ! » Ça devait bien faire trois fois qu'il criait le nom de la jeune barmaid, à travers son établissement. Mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ? Il l'avait juste envoyée chercher un fût de bière dans la cave, fût qui se trouvait bien en évidence. Elle n'était pas capable de le porter jusqu'ici, en y ramenant son fessier par la même occasion ? Heathcliff finit par entendre une réponse, d'une voix bien moins forte que ne l'avait été la sienne. « Ne t'énerve pas, vieux bougon, j'arrive ! » Le propriétaire aux cheveux blancs vit alors le dessus du crâne de sa jeune employée, montant tranquillement les marches, trainant le fût à sa suite. « Tu en as mis du temps ! » Elle posa le fût derrière le comptoir et le fixa. « Et pourtant, aucun client ne s'est plaint, pas d'inquiétude. » Tout en disant ça, elle lui passa par derrière, non sans coller un baiser sur sa joue rugueuse – manie qu'il détestait au plus haut point, ce qui ne manquait pas d'amuser la petite, pour aller placer le fût. La porte tinta, un client venait d'entrer. Ils se faisaient rares, ce qui était appréciable. Celui-ci n'avait d'ailleurs pas l'air très commode, mais Patti lui sourit et le servit, sans trop parler, ayant cette capacité de comprendre à quel client il fallait parler et auquel il valait mieux ne pas adresser la parole.

24 ANS ▬ Un cri retentit dans la maison de famille d'Omonville-la-Petite, en Normandie. Suivit d'un second. Des pas martelèrent avec rapidité l'escalier en bois, une chevelure brune courut à travers les trois pièces du rez-de-chaussée, sortant nus pieds. Affolée, Patti se mit à hurler. « Papa ! Papa ! » Sa voix s'éreintait à mesure qu'elle criait, encore et encore, appelant son père, ne comprenant pas ce qu'il se passait. Elle s'était réveillée, en sursaut, en reconnaissant distinctement la voix de son tonton, appelant à l'aide, au fin fond d'elle ne savait où. Son papa surgit soudainement, du fond du jardin. Il s'approcha de sa fille, la prit par le bras et l'entraîna à sa suite, retournant dans la maison. Elle était inquiète, perdue. « Qu'est-ce qu'il y a ? » L'angoisse dans sa voix n'était en aucun cas surjoué, des larmes perlaient au coin de ses yeux. « Je ne sais pas, c'est Winston ... Il a crié, j'ai couru, mais il n'était plus là. » Elle se blottit contre le torse du paternel, ne voulant pas regarder ce visage si calme, bien qu'elle le préféra à un visage inquiet qui lui renverrait sa propre inintelligence de la situation. Elle craignait, craignait le pire. L'incompréhension des choses était habituellement un fait qu'elle appréciait. À l'heure actuelle, elle détestait ne pas savoir.

25 ANS ▬ En arrivant devant le Gladstone, Patti avisa les têtes présentes. Elle salua les clients, ou amis, qu'elle connaissait et qui fumaient dehors, alors que le concert prévu ce soir là battait son plein. Elle jeta un coup d’œil vers l'intérieur du pub et fit un signe de main à Pandora et Siobhan qui étaient de service ce soir, mais les deux étaient trop occupées à servir pour l’apercevoir. Avant de rentrer dans l'établissement, son regard tomba sur Neil. Lorsqu'elle s'approcha pour le saluer, ce dernier, pas très stable, mit sa main sur son épaule et déposa un baiser sur sa joue. « Tu vas bien ? » Patti lui sourit et lui assura qu'elle allait bien. « Ça n'a pas dû être facile, surtout avec ce con. Mais je te soutiens, pour ce que ça importe. » Elle sourit, le remercia, puis se dirigea vers le comptoir. Contrairement à ce qu'on pouvait penser, et elle en était elle-même surprise, elle avait réellement bien vécu son avortement et c'en était retrouvée plus que soulagée. Seul son ancien compagnon avait été l'élément délicat. Peu étaient au courant, mais ce n'était en aucun cas une honte, elle savait d'avance qu'elle n'aurait aucun mal à en parler si la conversation venait à tomber sur ce sujet. Elle colla une bise sur la joue de chacune de ses barmaids, salua deux ou trois personnes, et fila dans l'appartement en haut du pub, pour profiter d'un rail de coke, laissée par ses charmantes employées afin de commencer la soirée en grande pompe.

28 ANS ▬ Un couple parlait à une table. L’homme, assis de côté, négligemment accoudé, essayait de tenir un discours un minimum construit, mais l’alcool commençait à saper son élocution. La femme, en face de lui, réussissait tant bien que mal à faire abstraction du brouhaha environnant pour suivre les phrases décousues de son partenaire. Si on les observait attentivement, on finissait par comprendre que les deux individus ne se connaissaient pas et s’étaient laissés tenter par le jeu de la séduction sous l’effet de l’alcool. Un groupe d’amis, tous dans leur trentaine, s’exprimaient à grand coup d’exclamations, coupant parfois, par leurs éclats de rire, les conversations des clients alentours. Au bar, les habitués échangeaient des propos plus ou moins intéressés, saluant les quelques nouveaux arrivants solitaires qui passaient de temps en temps la porte. La soirée ne faisait que commencer, le soleil n’était pas encore tout à fait couché, sa lumière illuminait le ciel, sans pour autant que l’on puisse le trouver dans cette étendue d’un bleu tirant sur un violet minéral et qui s’assombrissait petit à petit. Sur le retour de leur chorale, deux dames, la cinquantaine passée, pénétrèrent dans le pub. Elles commandèrent deux petits ballons de vin rouge et allèrent s’installer à une table, près des fenêtres. La première portait un rouge à lèvre vif, quand l’autre était d’un naturel frappant, même ses cheveux semblaient ne pas avoir été brossés depuis un moment. Négligemment assise sur son tabouret, derrière le bar, Patti avait les yeux sur l'écran de son ordinateur, regardant sans vraiment y faire attention les actualités qui circulaient sur les réseaux sociaux. Cette soirée s'annonçait plutôt calme et elle s'en réjouissait d'avance, la nuit dernière n'avait pas été de tout repos et elle se coltinait un sacré mal de crâne ce soir.


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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 9:15

Rebienvenue mon chou. :!: Tu me donnes envie de mettre du PJ Harvey du coup. Le début de fiche est sublime, ton second personnage envoie du pâté. Bon courage pour la suite !
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 13:38

Welcome sur le forum man-size +patti 1974782251
Merci de nous avoir rejoint et puis bon courage pour ta fiche man-size +patti 345634858
N'hésite pas en cas de questions :unedent:
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Eames Montgomery
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 13:45

Rebienvenue man-size +patti 1075665306 et j'espère que ce personnage t'inspirera plus man-size +patti 1402047909
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 13:46

Heathcliff est mort, vive Heathcliff ?

Super début de fiche en tout cas ** Et on en parle de l'hommage à Patti Smith ? Je propose d'en parler man-size +patti 157061624 Tu me gardes un RP de côté, d'accord ?
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyVen 23 Oct - 13:53

Saül + Merci man-size +patti 2071356857 J'espère que tu as cédé à cette envie, parce PJ Harvey, c'est la vie man-size +patti 3147646729

Oskar + Merci man-size +patti 1075665306

Eames + Merci, ce n'était pas tant un manque d'inspiration qu'un blocage à cause de Doctor Who... je n'arrivais pas à me mettre dans le personnage sans penser au Docteur (ou à Malcolm Tucker, un autre rôle de Capaldi) man-size +patti 4183517653

Orion + Bien sûr qu'on en parle man-size +patti 1424121975 man-size +patti 1424121975 C'est bien entendu la raison de ce nom (puis je trouve que ça lui va bien à PJ aussi, finalement). Et bien sûr que je te réserve un RP man-size +patti 4134243134
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyLun 26 Oct - 11:56

WATCHA. Ce perso est ultra complet, c'est dingue toutes les infos accessibles que tu donnes. Je n'ai pas encore la prétention de dire que j'ai tout lu, pour l'instant, mais c'est le genre de fiche qui te donne directe l'envie de construire une multitude de liens, aussi inattendus, les uns des autres. Et puis on sent qu'il est propre à toi. Il est génial man-size +patti 2727053455 même si aux premiers abords, il est un peu sombre, j'adore.
Au plaisir de se retrouver en RP man-size +patti 1424121975
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyLun 26 Oct - 12:03

OH man-size +patti 4134243134 Je te remercie man-size +patti 3227409250 Je me suis retenue parce que ce personnage m'a vraiment inspirée pour le coup man-size +patti 785076752 (et pour un lien inattendu, si ça te tente, il n'y aura pas de soucis man-size +patti 885858953 )

Sur ce : j'ai terminé (et je me suis vraiment forcée à m'arrêter d'ajouter des souvenirs parce que j'avais deux ou trois événements amusants qui auraient pu être ajoutés encore XD) man-size +patti 3995979106 :jazzhands:
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MessageSujet: Re: man-size +patti   man-size +patti EmptyLun 26 Oct - 15:32

Waow. Dès le début de la partie caractère - et quelle partie ! Je la relirais bien une deuxième fois pour le plaisir ! - j'ai été complètement happé par ton histoire man-size +patti 4134243134 Ce personnage est juste génial, ton histoire est parfaite et on arrive tellement bien à s'identifier au personnage que ça se lit vraiment d'une traite man-size +patti 3227409250


te voilà validée !

Sois la bienvenue à Edimbourg !

Toutes mes félicitations mon petit chou. Avant que tu ne disparaisses dans la nuit noire, sache que ta personne est conviée à intégrer le rp commun de ton groupe. *o*

il est aussi de bon ton de te créer un carnet de relations, et de consulter le bottin immobilier ou celui de l'anpe. Tu peux aussi lancer des défis, participer aux rps communs, et même faire le fou ou la folle dans le flood !

N'oublie pas que tu peux rejoindre une association, une meute ou un coven, et supporter ton groupe.

N'hésite pas non plus à commenter la deuxième version du forum. *o* Enfin, tu peux envoyer à tout moment un message à ta dévouée dream team ! Ils aiment bien, ça leur passe le temps.
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