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 Siobhan ☁ J’emmène au zoo la pauvre fille comme d’autres iraient voir un porno

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MessageSujet: Siobhan ☁ J’emmène au zoo la pauvre fille comme d’autres iraient voir un porno   Siobhan ☁ J’emmène au zoo la pauvre fille comme d’autres iraient voir un porno EmptyVen 30 Oct - 16:29


le mufle de philomène
fiche par asi'click


Siobhan Thompson

âge : 39 ans. lieu de naissance et origines : italienne de par ta mère, qui ne t'a pas reconnue, anglaise de par ton père. statut civil : célibataire, mais pas solitaire pour autant. profession : cuistot et barmaid au gladstone pub. batteuse dans le groupe de rock the monkeys famille : ta famille, c'est ta fille et tes amis. qu'est-ce que votre personnage sait/pense du surnaturel : tu n'as que quelques doutes, mais n'est au courant de rien. quelle est votre réputation à edimbourg : aux yeux de certains, tu es une allumeuse, un peu dérangée, mais aux yeux de ceux qui comptent, tu es la liberté et le vice, ce petit aperçu de ce que pourrait être une vie sans contraintes réelles. traits de caractère : indépendante, provocatrice, militante, impulsive, bruyante, familière, sans gêne, intuitive, volontaire, enthousiaste, séductrice.


tattoos. tes tatouages sont autant de souvenirs que n'importe qui peut décoder pour te comprendre. un papillon et des fleurs sur le bras droit ; une fleur du lotus dans le dos, à la base de la nuque ; des oiseaux en vol qui remontent dans le dos ; "the monkeys" et un oiseau sur son poignet gauche ; une étoile sur l'intérieur de chaque coude ; une feuille d'érable sur le pied gauche ; trois oiseaux s'envolant d'une cage ouverte sur l'avant-bras gauche. free the nipple. plus jamais ça, t'es-tu dis lorsque tu as pu te défaire de l'emprise de ta mère et de son regard désapprobateur pour laisser libre ta poitrine. on ne te verra pas porter de soutien-gorge, tu leur préfères une brassière, ou un bandeau, ou absolument rien si ce n'est un t-shirt, et qu'importe si tes tétons pointes ou transparaissent sous un t-shirt blanc, tu es bien plus alaise comme ça. il faut dire que tu as la chance d'avoir une poitrine de taille raisonnable, ça n'encombre pas trop sous un t-shirt, veinarde. tu n'as, au passage, aucun mal à te balader en top-less à la plage ou dans ton jardin. il t'arrive même de le faire en ville, lorsque l'été les hommes montrent leur torse et que tu trouves ridicule de ne pas pouvoir en faire de même. il va sans dire que tu as finis au poste plus d'une fois à cause de ça, mais tu as la chance d'avoir dans tes connaissances quelqu'un qui viennent toujours te sortir de là. break the law. parlons-en de la police, justement. tu ne peux t'empêcher de t'attirer les ennuis lorsque l'un de ses représentants croise ta route. c'est une de tes mauvaises habitudes, et einstein seul sait à quelle point tu es pleine de vicieuses manies. que ça soit la fois où tu as pisser sur le capot d'une voiture de police, celle où tu as cassé un panneau publicitaire pour le recrutement de l'armée, juste en face un poste de police, ou encore celle où tu as proposé à un agent s'il avait envie de se faire un petit rail de coke, selon tes propres mots... les anecdotes ne manquent pas, mais celle qui m'aura le plus remarqué, depuis que je suis tes aventures, du haut de mon statut d'être inventé qui n'existe que dans ta tête, c'est bien la fois où, avisant une voiture de police à l'arrêt sur un passage piéton, tu es passée par l'arrière de la voiture, ouvrant leurs portes et décrétant que, je cite, s'ils n'avaient pas été des gros connards, ils auraient attendus juste avant le passage piéton que le trafic redémarre, plutôt que de bloquer le passage de ceux qui ont encore la décence d'utiliser leurs pattes. je dois dire que c'était plutôt amusant à regarder. imaginary friend. tant qu'on y est, autant me présenter. je ne sais pas si tu te souviens exactement du moment où je suis apparu, mais pour moi, c'était ma naissance, en quelque sorte, alors j'en garde un souvenir très précis. tu venais d'avoir sept ans et tu t'étais encore disputée avec ta maîtresse, tu ne comprenais pas bien pourquoi tu devais arrêter de dire "de méchantes choses aux autres enfants", tu ne disais que la vérité. ce n'était pas ta faute, après tout, si Kate avait un stupide crush sur Rupert qui se trouvait être un imbécile avec une dent de travers et qui répétait les insultes racistes que ces parents devaient balancer à longueur de journées. mais même les adultes semblaient ne pas aimer entendre la vérité, pourtant tu avais besoin d'en parler de tout ça, alors je suis arrivé. ou je suis arrivée ? je crois qu'aucun de nous deux n'a jamais été très sûr de mon genre, mais ce n'est pas comme si ça avait une réel importance, ça ne change pas mon fonctionnement. depuis, je t'observe, je te parle, j'essaye de te raisonner parfois, parce qu'il t'arrive d'aller un peu trop loin et il ne faudrait pas non plus que tu t'attires trop d'ennuis. serait-ce possible que je sois un moyen d'auto-défense contre ton impulsivité ? non, ne sur-analysons pas les choses, on laisse ça aux psys quand on ne les insulte pas. foodporn. ne nous voilons pas la face, le gras, c'est la vie. bon, c'est vrai, ça ne se voit pas vraiment sur ton corps, toute fine que tu es, mais il ne faut pas que les gens s'inquiètent, certes tu ne prends pas de poids, mais ça ne t'empêchera pas d'avoir du cholestérol et du diabète plus tard, ce à quoi tu n'échapperas pas vu le peu d'attention que tu portes à ton équilibre nutritionnel. pour toi, l'important, c'est de bien manger, de céder à sa gourmandise et de faire plaisir aux autres avec de bons petits plats. pas de prise de tête possible quand il est question de nourriture, juste la jouissance d'un plaisir à la portée de tous. sex and drugs and rock n'roll. parce qu'il n'y a pas que faire bonne chère qui permette de jouir dans la vie, tu n'hésites pas à profiter de tout ce qui peut te permette d'éprouver des petits plaisirs, au quotidien. il ne faut pas s'attendre de toi que tu t'interdises de coucher avec une personne parce qu'il s'agit de la fréquentation d'une de tes amis, de ta mère ou de ton frère, si l'occasion se présente, tu n'hésiteras pas à profiter de ce moment. c'est à l'autre de prendre ses responsabilités, si elle, ou il, accepte l'échange, c'est à lui d'être honnête avec son partenaire, toi, tu n'as rien à te reprocher. tu aimes les échanges spontanés, tu n'attends pas forcément de grandes histoires à chaque fois, ce qui n'empêche pas l'attachement et l'affection dans certains cas. mais tu ne peux ni promettre l'exclusivité sexuelle, ni l'exclusivité romantique, affective. puis, il y a la drogue. tu fumes comme un pompier, à ça s'ajoutent le cannabis, tous les jours, la coke et l'extasy, au moins une fois par semaine. ce n'est pas bien, tu en es consciente, mais après quoi ? tu aimes ça et qui te dis que tu ne vas pas mourir demain en trébuchant dans les escaliers ou assommée par une bouteille de scotch que tu aurais mal attrapée au bar ou encore brûlée vive à cause d'une malfonction des fourneaux au gladstone ? rien ne te garanti que tu vivras demain, alors autant vivre aujourd'hui librement. boarding school. autant dire que le pensionnat, ce n'était pas vraiment ton truc. j'ai encore des migraines au souvenir des sermons que tu n'arrêtais pas de te prendre pour ta mauvaise conduite. tu n'arrivais pas à tenir en place et le couvre-feu n'était pour toi qu'une gentille indication qu'il ne fallait écouter que lorsque l'on était fatiguée. et fatiguée, tu ne l'étais jamais. combien de fois ai-je essayé de te raisonner, de te suggérer que transformer une salle de classe en salle de percussion où tu pouvais t'amuser à faire autant de bruit que tu le souhaitais n'était pas une si bonne idée, de te faire prendre conscience que faire un barbecue sur le toit du bâtiment principal était non seulement dangereux, mais aussi fortement déconseillé par le règlement... quoi que, c'est vrai, il n'était noté nul part qu'on n'avait pas le droit de monter sur les toits, ni d'y allumer un feu, alors... je ne sais pas quel miracle t'a permis de ne pas te faire renvoyer plus longtemps qu'une semaine, parce que tu as finis par faire toute ta scolarité là-bas, mine de rien. ce sont probablement tes parents et leurs relations. oui, ça doit être ça. the monkeys. tu as rencontré cette nana avec un sourire adorable et une sensualité qui dégoulinait de chacun des pores de sa peau, elle chantait bien, elle avait un quelque chose de provocateur, elle était plus jeune, bref, tu la voulais dans ton lit. peine perdue, c'était la première fois que tu tombais sur une asexuelle. alors bien sûr, tu as dormis avec elle, tu l'as tenue dans tes bras, tu t'es enivrée de son parfum, tu as enfouis ton visage dans ses cheveux et ta langue a trouvé le chemin de la sienne, mais elle t'a vite fait comprendre que le reste ne l'intéressait pas. pourtant, tu es restée, parce qu'on ne se défait pas si vite d'une obsession, surtout quand elle résiste, surtout quand elle est originale et qu'elle t'entraîne dans un univers artistique auquel tu ne saurais te refuser. alors tu as finis par prendre la place de son ancien batteur, un trou du cul si on te demandait ton avis, mais personne ne te l'a demandé à ce moment là, alors on oublie. tu as à peu près couché avec tous les membres qui sont passés dans le groupe, quand on y pense, de bons souvenirs pour la plupart. pour la plupart, parce que certains ont oublier le respect qu'ils te devaient la minute où ils se sont glissés hors de tes draps. ah, les gens et leurs égos. brutal music. ce n'est pas étonnant que ton instrument soit la batterie, tu aimes ce qui envoie. tu aimes tout type de musique, il t'arrive même d'apprécier du jazz ou de la musique classique, mais ton trip, c'est la musique brutale. tu peux passer des heures à écouter de la dubstep, du grindcore, du death metal ou du punk hardcore, même si, lorsque tu travailles, c'est la dubstep que tu privilégie. plus c'est fort et agressif, plus tu prends ton pied, surtout en concert. tu es la première à défier les wall of death, à sauter dans les pogo ou a lancer un circle pit. pourtant tu trouves ton compte dans le groupe des monkeys, qui a un style rock très hétéroclite, allant du brutal, au blues, au jazz, au ska... mais c'est ce qui fait tout le charme de ce groupe, finalement. daughter. il fallait bien que ça t'arrive, tomber enceinte. mais tu n'avais tellement pas envie, c'était une telle hantise pour toi, que tu as fait un déni. pas un petit déni de rien du tout, hein, le vrai déni qui pousse le vice jusqu'à faire en sorte que dans ton corps, rien ne t'indique une grossesse jusqu'à ce que la tête de ta fille ne passe ton colon. ça a été un choc, pour moi aussi, c'est peu de le dire. tu n'as pas très bien réagi sur la coup et ton premier réflexe a été de haïr cet être que tu venais d'expulser par ton vagin. tu as mis deux jours à accepter de la regarder, puis tu as compris qu'elle n'y était pour rien. la question de l'abandonner aux services sociaux s'est posée, en toute légitimité, mais tu l'as finalement gardée. et bien que tu regrette d'être mère, tu aimes ce que ton utérus a produit. ton sentiment face à ta position de mère n'est pas une fatalité et ne t'empêche pas de porter un amour sincère à ta fille et d'avoir essayé de lui offrir une éducation à peu près acceptable. tu ne sais pas qui est le père et t'en fiche complètement. ça n'a pas grande importance, à ton avis, même si tu peux comprendre que ta fille aimerait en savoir plus. mais son père risque de ne pas être un grand héros, vu tes fréquentations, alors autant qu'elle ne soit pas trop déçue.
EN COURS
PSEUDO ▲ titre du rp

PRÉVUS
▲ PSEUDO

TERMINÉS
PSEUDO ▲ titre du rp

ABANDONNÉS
PSEUDO ▲ titre du rp

LES RECHERCHES
(M/F) ▲ un ou deux ami(e)s assez influents et avec des sous qui lui permettent de sortir de garde à vue à chaque fois qu'elle commet quelques petits délies.
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monkeys & butterflies
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patti monkeys

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monsters who act like people
les créatures



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